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| Angelina Jolie : Lara Croft ||| Jon Voight : Lord Richard Croft ||| Iain Glen : Manfred Powell ||| Daniel Craig : Alex West ||| Noah Taylor : Bryce, assistant technique de Lara ||| Chris Barrie : Hillary, le majordome officiant au manoir des Croft ||| Julian Rhind-Tutt : Pimms ||| Leslie Phillips : M. Wilson ||| Richard Johnson : Gentleman distingué ||| Mark Collie : Larson ||| Ozzie Yue (en) : Vieux bouddhiste ||| Sylvano Clarke : Employé de UPS ||| Henry Wyndham : Encanteur de chez Boothby ||| Rachel Appleton : Lara Croft, jeune |
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Lara Croft : Tomb Raider |
 Retour à Tomb Raider |
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Lara Croft : Tomb Raider |
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| Les trois planètes ne s'aligneront en une éclipse totale que dans 5000 ans. Voilà de quoi mettre en émoi les Illuminati, eux qui rêvent de contrôler le Temps et l'Espace. Mais pour ce faire, ils doivent assembler les deux morceaux du triangle magique que les anciens ont brisé et dissimulé de par le monde. Malheureusement pour dénicher ces précieux fragments, il leur faut la clé. Lara Croft a hérité de son père archéologue de nombreux trésors parmi lesquels une mystérieuse horloge magique… qui est la clé ! Et le père de Lara, adversaire irréductible des Illuminati, a aussi laissé une lettre où il expose les funestes projets de ces malfaisants Lara Croft ne dispose que de 48 heures pour sauver le monde. |
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Quelques mots sur |
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| En novembre 1996 paraît le premier opus de la série des jeux vidéo Tomb Raider mettant en scène Lara Croft, archéologue fascinée par les civilisations anciennes qui d’un continent à l’autre, de pays en pays, recherche des objets aussi rares que mystérieux ou maléfiques. Jeune femme athlétique, souple, courageuse, bagarreuse, n’ayant peur de rien, même pas du ciel qui pourrait lui tomber sur la tête, vêtue d’un body turquoise sans manches, d'un short court, gantée de mitaines et chaussée de Rangers, elle arbore à la taille un double holster et à l’épaule un sac à dos. Dotée d’une poitrine généreuse, la créature vidéo, à laquelle moult modèles prêteront leurs traits lors d’apparitions promotionnelles devient très vite un sex-symbol et les rumeurs les plus fantasques circulent dans les cercles des fans (1). Cinq ans après sa première apparition sur les consoles de jeux vidéo, Lara Croft débarque sur grand écran sous les traits d’Angelina Jolie considérée comme « le canon occidental actuel de beauté » et désignée comme le plus grand sex-symbol par « The 100 Greatest Sex Symbols”, émission de la chaîne de télévision britannique Channel 4. Ainsi en 2001 un sex-symbol enfile le short court d’un sex-symbol. Et le résultat est immédiat : le film est un succès au box-office alors qu’il reçoit un accueil pour le moins mitigé d’une partie de la critique ainsi que des fans du jeu vidéo. Pour les uns : « Le film se réduit à un produit sans imagination du cinéma d'action » « Le film reste hélas aussi virtuel que son héroïne » Pour les autres : « histoire idiote et ennuyeuse dépourvue de toute émotion et réunissant les poncifs du genre » « sur un scénario d'une débilité insultante » « Un film à l'idiotie cosmique », « Les fans de Lara Croft chercheraient en vain une référence formelle, inventive, ironique ou simplement efficace à leur jeu préféré » Certes, ce métrage ne révolutionne ni l’art de filmer, ni celui de monter ou de narrer, pour autant il respecte à merveille son cahier des charges : action et décors dépaysants. Trois moments de castagnes, mitraillages et explosions ; trois moments de culbutes, roulades et acrobaties ; trois lieux différents aux décors riches et inventifs, un manoir, un temple cambodgien et une grotte sibérienne. Au bilan : de la bonne humeur et une distraction convaincante 1- Il existerait un code « secret » permettant de dénuder le personnage… mais comme ce code n’existe pas, d’aucuns développent des patchs à même de la dépouiller de ses vêtements. |
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