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Rocambole contra las mujeres arpías |
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Rocambole contra las mujeres arpías |
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Un malfaisant de la pire espèce tient à sa merci un groupe de femmes. Il leur a injecté un virus qui les fait immédiatement vieillir. Elles ne reçoivent un antidote, à effet passager, qu’à condition de commettre les crimes qu’il leur ordonne… | ||||||||
Quelques mots sur |
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Le spectateur doit à l’industrie cinématographique mexicaine quelques perles rares comme « Santo En El Tesoro De Drácula » ou « Santo Y Blue Demon Contra Dracula Y El Hombre Lobo ». Ce métrage ne dépareille pas parmi les susmentionnés. Assurément, ce Rocambole qui n’a de parenté avec le personnage créé par Pierre Ponson du Terrail que le nom, que l’on soupçonne d’emprunt, se révèle moins ridicule qu’un Santo qui ne quitte jamais son célèbre masque d'argent, mais il n’en est pas moins affublé d’un justaucorps ridicule et ceci d’autant plus qu’une flèche dirigée vers son entre-jambes en décore le torse. Convient-il de chercher dans ce blason autre chose que la représentation stylisée d’une cravate ? Mis à part cette interrogation qui assaille le spectateur à chaque apparition de Rocambole (Images 3-7-8), ce métrage ne recèle que peu de moments jouissifs. Certes il se conclut par une courte empoignade entre femmes (Image 5) et quelques échanges de manchettes qui claquent comme des branches que l’on brise (Image 6), mais cela ne suffit pas à émoustiller le regardeur ordinaire que le titre, par son évocation d’un gang de femmes (Images 1-2-4), avait abusé. |
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