|
|
|
Tony Russel : Patriciao / Alfonso / Zorro ||| María José Alfonso : Manuela de la Riva ||| Roberto Paoletti : Capitaine Gomez ||| Jesús Puente : Général Esteban Garcia ||| Mirella Maravidi : Alicia ||| María Luisa Arias : Doña Leonor de la Riva ||| Pepe Rubio : Marcel de Fregonal (as José Rubio) ||| Ángela Rhu : Maria, la servante ||| Agustín González : Capitaine Ambo ||| Sancho Gracia : Juan, le fiancé de Manuela ||| Aldo Cecconi : Lieutenant del Sol ||| José Maria Seoane : Don Antonio ||| Rosita Yarza : Serafina Montson ||| Enrique Navarro : Jeronimo Montson ||| Enrico Salvatore : Alonzo, le majordome traitre ||| Joaquín Pamplona : capitaine des gardes ||| Rafael Vaquero : un officier du palais |
325 lectures |
|||||||
Le Serment de Zorro |
Retour à Zorro |
|||||||
Le Serment de Zorro |
||||||||
La Californie en 1847 exploitant la confusion qui règne dans la région à la suite de la Révolution, les Mexicains, suivant les ordres du G4néraI Di Santa Ana, se sont jetés contre les Espagnols, volant et pillant sans contrainte. L’un d’eux, Esteban DOMINGUEZ, se met à la tête d’une puissante bande hors la loi et occupe la ville de Santa Barbara dont il se nomme Gouverneur Le véritable Gouverneur Don Alonso de Riva Florida est condamné à mort avec sa suite de gentilshommes. Au dernier moment il est libéré par un cavalier mystérieux, légendaire, masqué, nommé ZORRO qui a juré sur la tombe de son père de toujours combattre l’injustice et la violence. Grâce à un déguisement ingénieux, ZORRO trouve également le moyen de libérer Manuela, la fille de Don Alonso. Dans le palais du Gouverneur Patriclo, ancien malte d’hôtel de Don Alonso est maintenant à la solde de l’usurpateur à la grande indignation de Manuela qui le considère comme un fripon il y a également au Palais un jeune Professeur d’entomologie, un français Marcello Fragonal, toujours en train de faire la chasse aux insectes et aux papillons. Patricio adore en secret Manuela tandis que Marcello est épris de sa cousine Elisa. Les exploits du cavalier masqué ont fait une forte impression sur le cœur romantique de Manuela. Pendant ce temps, Zorro évitant tous les pièges placés sur son chemin poursuit sa mission et réussit à libérer tous ceux qui ont été condamnés à mort. Estoban Dominguez et ses deux écuyers, Gomez et Del Sol, sont certains d’avoir mis la main sur le mystérieux cavalier. Condamné à mort, celui-ci nie désespérément toute culpabilité. Afin de prouver que la condamnation est injuste, ZORRO intervient et trouve le moyen de libérer Marcello. Après une longue poursuite, il parvient à faire perdre sa trace à ceux qui le pourchassent. Il persuade les citoyens de Santa Barbara de prendre les armes contre les bandits tandis qu’avec Don Alonso, Marcello et d’autres, il se fraye un chemin dans le Palais. A un signal donné, le combat commence et après une lutte sévère, ils l’emportent principalement grâce au courage manifesté par le mystérieux cavalier qui dissimule sa tête. ZORRO apparait à tous comme étant Patricio, le faux maitre d’hôtel. Les bandits survivants sont mis en fuite et Santa Barbara est de nouveau libre. Synopsis d'exploitation, France, 1966 |
||||||||
Quelques mots sur |
||||||||
Deux ans après son premier Zorro (Les Trois Épées de Zorro), Ricardo Blasco Laguna signe une nouvelle aventure du justicier masqué, avec dans le rôle de ce dernier l’acteur américain Tony Russel venu en Italie chercher le succès. Si ce dernier film du réalisateur souffre entre autres de son manque de scènes d’extérieurs et du caractère par trop caricatural des méchants – des soulards mal dégrossis-, il contient une idée originale : deux protagonistes allient tous les traits de caractère pour être Zorro, l’un est un domestique zélé que l’on devine retors, l’autre un chasseur d’insectes qui se révèle dissimulateur. Qui de l’un ou de l’autre est ce héros intrépide de noir vêtu ? Le réalisateur s’amuse à induire sciemment en erreur le spectateur… Et ainsi, à la différence de la grande majorité des films mettant en scène ce personnage, l’identité de Zorro n’est dévoilée au regardeur que lors de l’ultime plan. |
|