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George Ardisson : Riccardo Di Villa Verde / Zorro ||| Alberto Lupo : Miguel ||| Nadia Marlowa : Bianca Rodriguez ||| Maria Letizia Gazzoni : Infante Isabella ||| Franco Fantasia : Manuel Garcia ||| Antonio Gradoli : L'Oste ||| Carlo Tamberlani : Marquis Pedro Di Villa Verde ||| Amedeo Trilli : le moine ||| Grazia Maria Spina : Consuelo ||| Nazzareno Zamperla : Paquito ||| Carla Calò : Francisca Di Villa Verde ||| Nerio Bernardi : Colonel Vargas ||| Tullio Altamura : Comte de Tolède ||| Andreina Paul : Regina Maria Cristina ||| Gloria Parri : Rosita |
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Zorro l'intrépide |
Retour à Zorro |
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Zorro l'intrépide |
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A la mort de son frère, le Duc Ramon de Castro projette de s’emparer du pouvoir, au détriment de sa belle-sœur, duchesse de Lusitanie, et de sa nièce, légitimes héritières. Pour mener à bien ses funestes plans, il doit obliger sa nièce à renoncer à ses droits. Il commandite le kidnapping de la jeune héritière et espère la contraindre à abdiquer. Mais c’est sans compter sur l’action d’un mystérieux chevalier masqué et de noir vêtu. Au final, l’usurpateur n’aura d’autre choix que l’exil… |
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Quelques mots sur |
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Le scénario reprend le schéma classique du personnage à la double personnalité : fade en public ; intrépide sous le masque. Certes, dans cette histoire qui ne se déroule pas en Californie Zorro ne combat pas explicitement pour la cause du peuple, mais en défense de la veuve, ce qui en dernière analyse revient au même. Sans être un métrage marquant du genre cape et d’épée, ce Zorro, au rythme soutenu, constitue un divertissement appréciable même si les acteurs ne sont pas au meilleur du jeu attendu. |
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