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Zorro le vengeur |
Retour à Zorro |
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Zorro le vengeur |
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La Californie est tombée dans le giron de ses voisins yankees. Et le général Clarence, un être peu enclin à la compassion, en guide la destinée. Mais un gouverneur vient d’être nommé et il arrive en compagnie de sa fille. Alors le fourbe général Clarence fait assassiner le curé de la paroisse, piller l’église et piéger Juan, un brave aubergiste qui accusé du meurtre, est jeté en prison. - Et alors ? Et alors ? Eh, eh, Zorro est arrivé |
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Quelques mots sur |
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L’oppresseur aurait-il changé de nationalité ? Serait-il devenu nord-américain ? Et Zorro se teinterait-il d’anti-impérialisme ? Que nenni ! L’oppresseur est toujours le même : un individu malfaisant, certes un individu dont le regardeur perçoit mal les motivations, mais un individu prêt à toutes les bassesses, un individu qu’il suffirait d’écarter pour que règne la paix et la concorde. Voilà la tâche à laquelle s’attèlent, chacun à leur manière, chacun à leur place, Zorro et le nouveau Gouverneur : allié les cœurs et les âmes, rallier les peuples à la bannière étoilée, aussi libératrice que civilisatrice et porteuse de justice. Et l’un comme l’autre parviendront à leur fin et le regardeur de se demander pourquoi Zorro n’a pas éliminer le général bien plus tôt tant cela lui a été simple. Mais peut-être attendait-il, au-delà des cœurs et des âmes, de pouvoir communier prosaïquement ; peut-être attendait-il que sa beauté et son courage ne fassent se pâmer d’émoi une fille de gouverneur. |
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