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Dean Martin : Matt Helm ||| Ann-Margret : Suzie ||| Karl Malden : Julian Wall ||| Camilla Sparv : Coco Duquette ||| James Gregory : MacDonald ||| Beverly Adams : Lovey Kravezit ||| Richard Eastham : Dr Norman Solaris ||| Tom Reese : Ironhead ||| Duke Howard : Billy Orcutt ||| Ted Hartley : Garde ||| Marcel Hillaire : Capitaine de police Deveraux ||| Corinne Cole : Miss January ||| Robert Terry : Dr Rogas |
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Bien joué Matt Helm |
Retour à Matt Helm |
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Bien joué Matt Helm |
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Norman Solaris, savant de son état, a mis au point une arme qui, utilisant l'énergie solaire, atteint une puissance inégalable. Julian Wall, un fou qui rêve de détruire la ville de Washington, a kidnappé le savant. Afin de mener à bien son projet, Julian Wall fait éliminer divers agents secrets, parmi lesquels Matt Helm. Mais Matt Helm n’est pas mort ! C’était une ruse ! Et Matt Helm se met en chasse de Julian Wall ! En cours de route, sur la Côté D'Azur, il croise la charmante fille de Norman Solaris… |
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Quelques mots sur |
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« Bien Joué Matt Helm », deuxième apparition à l’écran de l’agent secret de fiction créé par Donald Hamilton toujours sous les traits de Dean Martin. Et si pour cette nouvelle adaptation, qui s’inscrit dans le sillon de l’espion de sa Gracieuse Majesté, mais dans un sillon parallèle, celui de la parodie, de l’humour et du gag, la gent féminine se trouve réduite, elle n’en est pas moins présente, peut-être parce qu’elle constituait le principal attrait du métrage. Le regardeur du 21 siècle, nonobstant les longueurs harassantes du susdit métrage, s’il sera moins sensible aux déshabillés féminins, sourira probablement de leurs habillés aussi excentriques que colorés, tout comme il sourira de la surenchère de modernité qui ponctue le métrage au travers de gadgets aux relents kitsch. Pour le reste, il risque de s’intéresser avec une profonde distraction à ce scénario au filmage discutable, voire inexistant. |
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