|
![]() |
MARIE VINDY |
Le Sceau De L’ombreAux éditions KRAKOENVisitez leur site |
2221Lectures depuisLe jeudi 6 Octobre 2011
|
![]() |
Une lecture de |
![]() |
4eme de couverture Quand une jeune reporter se présente à son domicile, le commandant de police Simon Carrière n'est pas surpris. Femmes violées, corps décapités, le retentissement de cette barbarie dans l'opinion publique avait été énorme. Il aurait été bien étonnant qu'aucun journaliste ne veuille cuisiner le flic de la PJ de Dijon qui avait mis un terme à cette affaire. Econduira-t-il cette « pisse-copie »? Non ! trop de souvenirs douloureux le rattachent à cette enquête, trop de drames ont fait de lui un homme brisé. Simon Carrière va relater les faits dans les moindres détails, livrer sa vérité. Cela suffira-t-il à conjurer les tourments de sa mémoire ? Avec ce polar aux aspects de thriller, Marie Vindy nous entraîne dans le tréfonds d’une histoire criminelle donnant la chair de poule. Suspense et frissons garantis. Avant-propos de l’éditeur "Mektoub", premier roman en forme de galop d'essai, avait dérouillé sa plume. Avec "Le sceau de l'ombre", Marie Vindy entame une chevauchée à bride abattue dans le polar et cette course haletante consacre un thriller bien construit cravachant le lecteur, le plongeant sans ménagement dans les tourments d'une équipe de policiers confrontés à un couple meurtrier. On n'est pas à Los Angeles, mais à Dijon. Si les coteaux des vignobles remplacent les palmiers de la côte californienne, on découvre que la barbarie règne aussi à notre porte. Le portrait des coupables, que dessine progressivement la psychocriminologue qui vient renforcer le groupe d'enquête, est effrayant. La série de leurs crimes : meurtres haineux commis de sang froid pour l'une, actes de folie furieuse pour l'autre, nous plonge dans les abîmes du mal absolu. Des personnages forts et bien campés, une intrigue originale, un rythme soutenu ménagent un suspense plein de rebondissements. La banalité apparente du décor distille une angoisse de tous les instants ; le malaise s'installe progressivement… Alors vous vous surprendrez à abandonner "Le sceau de l'ombre" pour rallumer une ou deux lampes supplémentaires. Et dans le même mouvement, vous irez vérifier que les portes sont bien fermées à triple tour. Sera-ce suffisant pour vous rassurer ? Que le lecteur en soit averti : il n'y a pas de portes assez solides pour empêcher les cauchemars. Ava Ventura - 2008
Krakoen. Février 2008. 362 pages. 10 € 4° de couverture : Quand une jeune reporter se présente à son domicile, le commandant de police Simon Carrière n'est pas surpris. Femmes violées, corps décapités, le retentissement de cette barbarie dans l'opinion publique avait été énorme. Il aurait été bien étonnant qu'aucun journaliste ne veuille cuisiner le flic de la PJ de Dijon qui avait mis un terme à cette affaire. Econduira-t-il cette «pisse-copie»? Non ! trop de souvenirs douloureux le rattachent à cette enquête, trop de drames ont fait de lui un homme brisé. Simon Carrière va relater les faits dans les moindres détails, livrer sa vérité. Cela suffira-t-il à conjurer les tourments de sa mémoire ?
Avec ce polar aux aspects de thriller, Marie Vindy nous entraîne dans le tréfonds d’une histoire criminelle donnant la chair de poule. Suspense et frissons garantis.
Tout commence par une double disparition. La police pense à une fugue amoureuse. Le mari est parti avec sa maîtresse. Rien de plus banal. Mais quelques jours plus tard on découvre les deux cadavres décapités. L’enquête commence. Une enquête longue et difficile. Aucune piste. Puis un autre cadavre... Comme dans toute enquête ce qui compte ce sont les péripéties, les personnages, leurs relations. En matière de péripéties, il y a ce qu’il faut ! Les personnages sont crédibles, humains. Profondément humains. Trop peut-être. Marie Vindy signe là un procédural classique dans sa modernité. Une auteure à suivre. |
Autres titres de |