cobra de Dominique SYLVAIN


Cobra SYLVAIN83

DOMINIQUE SYLVAIN

Cobra


Aux éditions VIVIANE HAMY


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Le dimanche 11 Aout 2008

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Dominique SYLVAIN




Une lecture de
L A

L A  

Tout avait commencé quelques années plus tôt, lors d’un pique-nique dans un jardin romain… A moins que tout n’ait commencé par l’éclatement d’un pneu et la mort de l’amour… Ou que ce ne soit au cours d’une sorte de pèlerinage sur les lieux du pique-nique…
Toujours est-il qu’à sa sortie du coma le Cobra tue tous ceux qui l’ont créé.

Quant à l’affaire, elle commence par la mort Paul Dark, le directeur du laboratoire Coronis. Il a avalé un verre de Tequila bourré de strychnine… Un verre que lui avait offert le Cobra.

Très vite le commandant Bruce et le capitaine Lewine vont se convaincre que les mobiles du tueur en série, qui se cache derrière ce nom de serpent, sont liés aux activités du laboratoire Coronis.
Et de cadavre en cadavre ils découvriront que tout a commencé quelques années plus tôt lors d’un pique-nique…

Cobra est le second et dernier polar de la série des Bruce, qui met en scène le commandant Alexandre Bruce et les lieutenants Victor Cheffert et Martine Lewin, trois officiers de la Brigade Criminelle, qu’a rédigé à ce jour Dominique Sylvain.
Et c’est fort dommage, tant ces trois personnages sont d’une complexité réelle, au point que l’on entend battre leur cœur d’une page à l’autre.
Alors n’hésitez pas et précipitez-vous sur ce Cobra, où rien ne manque, ni la cruauté, ni le sexe, ni la poésie, ni l’humour, ni la hantise de la mort (thème constituant du polar en général).

Précipitez-vous sur ce polar, un verre de tequila à la main, vous ne risquez qu’une overdose de talent.



Une autre lecture du

Cobra

de
JEANNE DESAUBRY

JEANNE DESAUBRY
« Vox » était la première apparition en 2000 du duo Alex Bruce / Martine Lewine, équipe réapparaissant dans « Cobra » deux ans plus tard.  Ces deux romans ressortent en même temps en ce début 2013 au Seuil, collection « Points Policiers ».Le Prix Sang d’Encre était venu récompenser « Vox », à juste titre. Car, s’il s’agit d’un roman de serial killer, une écriture simple et des personnages attachants en font toute la saveur. On sait combien il est dur d’écrire simplement, l’hyperbole étant l’apanage des mauvaises fictions, blanches ou noires, peu importe le genre. Quand l’hyperbole fleurit, en général ça ne sent pas bon. Un peu comme les marguerites, si charmantes dans les talus d’été, mais qui puent la vieille chaussette une fois cueillies. (Comparaison complètement oiseuse, je sais, mais je ne me lasse pas du mystère de la marguerite).Le commandant Alex Bruce est un serial séducteur, noyant dans les amours multiples le chagrin d’un abandon. Martin Lewine, jeune capitaine au passé douloureux d’enfant de la DDASS, a survécu à un enlèvement de plusieurs jours,  avant de réussir l’exploit de s’échapper à force de volonté de survivre. Entrer à la Crime est son rêve que la survenue d’une série de meurtres lui permet d’atteindre. Ce ne sont pas tant ses qualités de flic qu’on va exploiter, mais sa voix de sirène, de celles qui font vibrer « Vox » le fou qui tue des « voix » plus que des femmes. Il va lui falloir gagner sa place dans une équipe soudée, où l’amitié pèse autant que l’expérience.Toute une galerie de personnages, une ambiance, des couleurs, qui nous éloignent de l’univers du « 36 » à la Simenon. Ici, on pourrait qualifier le climat de légèrement décalé. Un poil subtil de fantaisie au sein d’une grande rigueur dans la construction de l’intrigue, qui file bon train.Ces qualités sont un peu moindres, peut-être, dans le second roman. « Cobra » pâtit sans doute d’une galerie de « méchants » plus caricaturaux, et les tourments de la capitaine après  la rupture amoureuse d’avec son commandant font perdre un peu de la légèreté pugnace du précédent opus. L’enquête se laisse suivre toutefois, et l’on ne saurait reprocher même un bouton de culotte (militaire) à Dominique Sylvain : pas de retournement invraisemblable, une progression linéaire qui finit en feu d’artifice, un joli saut de carpe pour le rétablissement final : ça tourne bien rond.Si vous aviez raté la première parution, faites-vous le plaisir (économiquement engageant) de vous offrir les deux titres et de les lire dans l’ordre. C’est toujours mieux.
Retrouvez
JEANNE DESAUBRY
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jeanne.desaubry.over-blog.com

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