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ALAIN PUCCIARELLI |
Meurtre à La Cité RadieuseAux éditions JIGALVisitez leur site |
1662Lectures depuisLe vendredi 4 Septembre 2009
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Une lecture de |
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Alerte sur la « Canebiero » ! (selon la norme mistralienne). Le Lemmy Caution du Vieux Port crèche dans les quartiers nord et recrute au pied de son HLM… Un meurtre vient d’être commis à la Cité Radieuse, 280 du boulevard Michelet. Dans l’un des appartements en duplex du village vertical, imaginé et dessiné par Le Corbusier, le corps d'Eric Dupont a été découvert, plombé au gros calibre avant d’être épinglé au sol grâce à un pied de chevalet… histoire d’aérer l’intestin. Aussitôt, Schimdt, le chef de la police locale, exilé alsacien, confie l’affaire à Oliveri, ancien autochtone de la « Cite Corbu ». Un type qui connaissait la victime n’est-il pas le mieux placé pour résoudre l’embrouille? Certes, mais encore faudrait-il qu’il y comprenne quelque chose! Et comment pourrait-il y comprendre quelque chose alors qu’il ne croise que des « intellectuelles qui portent la fouf en bandoulière »? Un truc à rendre fou « le tireur de fille » qu’il est… A condition que personne ne les tue… Mais voilà, il semblerait que quelqu’un en ait décidé autrement. Car, si lui les tire, quelqu’un d’autre les abat! Avec ce « Meurtre à la cité Radieuse », Alain Pucciarelli, épaulé par un registre de langue et une syntaxe à l’image de l’intrigue, ouvre les portes à un style rarement usité dans le polar qui pour le coup entre en parfaite résonnance avec son propos débordant d’une hargne politiquement incorrecte. Et c’est avec bonheur que nous le suivons au cœur d’un étrange complot où se mêlent, sans se démêler, les grenouillages géopolitiques de services occultes, de trafiquants d’armes et autres maffiosi. |
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