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ALAIN PUCCIARELLI |
Meurtres A La Cite RadieusesAux éditions JIGALVisitez leur site |
375Lectures depuisLe jeudi 30 Septembre 2021
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Une lecture de |
4° de couverture : Oliveri est flic… Mais Oliveri n’est pas ce que l’on croit. Oliveri, Pied-Noir pur jus, grande gueule, alcoolique solitaire, fouineur invétéré, empêcheur de tourner en rond. Oliveri, tueur à ses heures perdues, Oliveri amoureux désespéré. Oliveri qui se soigne au Johnnie Walker, Oliveri qui croque des gousses d’ail pour se donner du baume au coeur. Oliveri qui court comme un dératé après Laura qui elle non plus n’est pas ce que l’on croit, Oliveri à la « Maison du Fada » au centre d’un trafic d’armes, entre malfrats, police et armée de l’ombre. Oliveri qui tant bien que mal tente d’éviter les pruneaux qui sifflent à ses oreilles. Oliveri qui compte les macchabées qui jalonnent sa route, Oliveri qui ne respecte rien, et surtout pas sa hiérarchie, Oliveri qui n’y comprend plus rien mais qui comme un chien enragé ne lâche jamais son os. Le commissaire Oliveri, un sacré emmerdeur comme il en faudrait plus souvent ! Ça commence comme un polar : un meurtre, puis deux, puis trois. C’est l’hécatombe à la Cité Radieuse, la fameuse maison du Corbusier. Et le capitaine Oliveri commence son enquête dans cette cité où il avait habité autrefois ce qui lui permet de renouer avec d’anciennes conquêtes qu’il s’empressera de reconquérir, car il les lui faut toutes à ce sacré Oliveri ! Et puis ça se transforme en une sorte de festival de barbouzes style tontons flingeurs. Ça canarde tout azimut et les cadavres s’accumulent. Le tout servi par un style que n’aurait pas renié un Michel Audiard dans une ambiance furieusement déjantée. |
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