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G MORRIS |
Le Feu Aux PoudresAux éditions PRESSES DE LA CITEVisitez leur site |
575Lectures depuisLe vendredi 4 Juillet 2020
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Une lecture de |
Un mystère, janvier 1954.
4° de couverture :
« La première détonation lui coupa la parole, suivie, à cadence rapide, d'une demi-douzaine d'autres. Une seule balle traversa la cloison de verre. Une balle perdue qui me siffla aux oreilles avant d'étoiler le grand miroir, juste derrière la tête du barman-boxeur. Toutes les autres s'étaient arrêtées avant ! Je sentis mon estomac se contracter en voyant la silhouette de l'homme battre l'air de ses bras, et, tel le gendarme assommé par Guignol, se plier en deux avant de disparaître derrière les panneaux de bois qui constituaient la partie inférieure de la cloison, tandis que les lourds fragments du carreau de verre dépoli se détachaient lentement de leur cadre, avec une sorte de majesté glacée... »
* * *
C’est curieux la mémoire, j’ai lu ce roman quand je devais avoir 14 ou 15 ans et j’ai gardé le souvenir de cette couverture avec ces silhouettes et l’impact des balles dans la vitre, ainsi que la dernière phrase qui disait quelque chose comme “Les paroles qu’il entendait lui faisaient plus de mal que les balles qu’il avait dans le corps”.
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