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ESTELLE MONBRUN |
Meurtre à MontaigneAux éditions VIVIANE HAMYVisitez leur site |
755Lectures depuisLe mercredi 20 Mars 2019
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Une lecture de |
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| David Klein, le futur secrétaire de Michel Lespignac, fait une chute qui l’expédie dans le coma. Quelque temps plus tard, les petites-filles, de ce même Lespignac, confiées à la garde de Mary O’Gryan, jeune Américaine au pair, disparaissent alors que cette dernière discutait avec une amie, introuvable depuis. Existerait-il un lien entre ces deux événements tragiques ? La commissaire Leila Djemani tire de sa retraite le vieux commissaire Foucheroux, au genou toujours capricieux, afin de le découvrir. Et tous les deux vont enquêter suavement dans le cercle restreint des spécialistes de Montaigne, sorte de chaudron où mijotent les jalousies, les rancunes et l’orgueil. Mais très vite une nouvelle question se pose aux enquêteurs : cet imbroglio aurait-il un rapport avec ce mystérieux supplément au journal de voyage en Italie, écrit en 1583, dont Michel Lespignac se vante de posséder le manuscrit ? A moins bien sûr que tout ceci n’est aucun rapport avec l’auteur des « Essais » et soit plus prosaïquement en lien avec le passé du sieur Lespignac, un passé d’homme au comportement discutable, un passé qui n’est pas dénué de motif de vengeance. Estelle Monbrun, spécialiste de Marcel Proust et Marguerite Yourcenar, avait inauguré la collection « Chemins Nocturnes », elle fête, avec roman, qui ne manque ni d’humour, ni d’autodérision, le vingt-cinquième anniversaire de la susdite collection. |
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