|
|
FREDERIC LENORMAND |
Divorce à La ChinoiseAux éditions FAYARDVisitez leur site |
1642Lectures depuisLe samedi 21 Mai 2011
|
Une lecture de |
En poste à quelques pas de la Cité interdite, le juge Ti se croyait enfin à l’abri des aléas. Mais c’était faire fi de l’immense bonté de l’Impératrice Wu. En effet, celle-ci lui offre comme première épouse une princesse de sa famille. Et voilà notre juge obligé de se séparer de sa première Première, mais encore faut-il trouver une raison qui justifie ce divorce… Et voilà Madame Lin conduite en résidence surveillée, un lieu où ces jours semblent comptés… Et voilà une servante de Madame Lin à la tête d’une bande de détrousseurs, brigands qui s’imaginent qu’il s’agit de Madame Lin. Et voilà la nouvelle Première du juge Ti qui se lance dans des réaménagements de sa demeure Et voilà Madame Lin qui trouve refuge au sein d’une troupe de théâtre, où ses partenaires croient qu’elle est un homme, mais lui confie le rôle d’une femme de magistral, rôle où elle triomphe. Et voilà des jeunes femmes qui sont assassinées et à qui on dérobe quelque viscère. Vous l’aurez compris pour le juge Ti la vie n’est pas la sinécure qu’il s’imaginait.
Frédéric Lenormand livre sa dix-septième aventure de ce personnage à la sagesse infinie. La verve et l’humour de l’auteur tissent une nouvelle fois une intrigue savoureuse qui se déguste goulument jusqu’à tard dans la nuit, avec le sourire aux lèvres et la ferme intention de se précipité sur le dix-huitième volume de ses nouvelles enquêtes du juge Ti.
Notons enfin que Frédéric Lenormand a obtenu le prix Arsène Lupin 2011 pour « La baronne meurt a cinq heures » (JC Lattès)
|
Autres titres de |