quand il y a un mort à la fin, moi j’adore ! de Gérard LE GOUIC


Quand Il Y A Un Mort à La Fin, Moi J’adore ! LE_GOUIC123

GERARD LE GOUIC

Quand Il Y A Un Mort à La Fin, Moi J’adore !


Aux éditions LES CHEMINS BLEUS


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Le jeudi 23 Septembre 2010

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Gérard LE GOUIC




Une lecture de
CLAUDE LE NOCHER

CLAUDE LE NOCHER  

(Recueil de sept nouvelles)

La route de Normandie. Vingt-cinq ans plus tôt, ce jeune agent d’assurances rencontra Charlotte lors d’un séjour à Ouessant. C’est surtout à cause de la ténacité de cette enseignante en devenir qu’ils devinrent amants. Quand elle obtint un poste en Normandie, leur vie de couple se fit plus épisodique. Ce qui ne le dérangeait pas trop, car il avait à charge sa mère et sa sœur. Charlotte eut une liaison avec un autre, puis fonda sa propre famille. Un quart de siècle après, il imagine de possibles mais incertaines retrouvailles.

Le pont suspendu. Cette femme manque cruellement de sens de l’orientation. Au retour d’une journée avec un ami, elle se perd dans un labyrinthe de petites routes. Son trajet aboutit aux abords d’un pont suspendu. Elle a la phobie des ponts, qu’elle pense maléfiques. Faisant demi-tour, elle poursuit son errance. Pourtant, son chemin la ramène bientôt près du même pont. Prendre à son bord une autostoppeuse pour avoir le courage de traverser, pourquoi pas, mais…

Confessions sur la côte nord. À cause d’un aléa, cet artisan d’art doit patienter avant de rencontrer un bon client à Dinard. Se promenant en ville, il se joint par hasard à une équipe de cinéma en tournage. Brève et amusante expérience, qui se poursuit l’après-midi. En effet, il va jouer la doublure d’un acteur absent. Le scénario du film semble très proche de sa propre histoire conjugale.

Une « anomalie bizarre ». Un voisin curieux est intrigué par le bruit répétitif des WC de sa jeune voisine. Non, elle ne semble pourtant pas souffrante. Son besoin de comprendre devient obsessionnel. Il finit par s’adresser au commissariat de police. Un vieil inspecteur au bord de la retraite finit par aller vérifier.

Le veuf inconsolable. Ce veuf qui n’a jamais vécu seul, il s’aperçoit que la vie solitaire comporte bien des inconvénients. Au restaurant, on vous laisse la pire des tables. À l’hôtel, on vous méprise ouvertement. Il faut user de stratagèmes astucieux pour être un client comme les autres. Il excelle à ce petit jeu, trouvant des parades qui l’amusent. À l’occasion de ce nouveau séjour à l’hôtel, il a la mauvaise idée d’improviser un scénario inédit. Beaucoup plus difficile de se montrer convaincant lorsqu’on s’enferre dans ses mensonges.

Un honnête homme. Ce libraire compétent est apprécié de tous. C’est un homme d’une parfaite rigueur morale. Trop rigide peut-être, car le voilà contrarié par un microscopique souci de voisinage. Sans doute la clôture posée par le voisin n’est pas correctement alignée. Mais il ne devrait pas laisser l’adrénaline monter.

La lettre oubliée. Sa relation avec Véronique est quelque peu compliquée. Leur rencontre de hasard n’a pas engendré chez lui la passion. Quand il reçoit une lettre de la jeune femme, il trouve divers subterfuges pour ne pas l’ouvrir. Petit jeu qui va durer trois semaines. Jusqu’à ce qu’il accueille sa nièce Zoé, onze ans. La petite diablesse se demande ce que contient ce courrier oublié…

Bien connu des amateurs de poésie, Gérard Le Gouic a été récompensé pour son œuvre (Prix de Poésie de l’Académie de Bretagne et des Pays de la Loire en 2008; Prix Artaud en 1980 pour Géographie du fleuve; Prix Alfred de Musset, de la Société des Gens de Lettres en 1977 pour poème de l'île et du sel; Prix Bretagne en 1973 pour Poèmes de mon vivant). Il a aussi publié divers ouvrages en prose. Ce préambule permet de souligner que le présent recueil de nouvelles est dû à un écrivain chevronné. Il ne s’agit pas de simples “textes”, mais bien de courtes histoires racontées avec un style d’écriture personnel. Rien de purement sordide dans les subtils scénarios proposés, pas d’actes criminels spectaculaires. La tonalité est plutôt souriante, enjouée, voire malicieuse (le cas des solitaires à l’hôtel ou au restaurant apparaît un témoignage véridique). Pourtant, avouée ou mystérieuse, la mort est souvent au rendez-vous. Gérard Le Gouic nous offre là un grand plaisir de lecture !

http://www.lescheminsbleus-hentouglas.com/

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