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PAULUS HOCHGATTERER |
La Douceur De La VieAux éditions QUIDAM EDITEURVisitez leur site |
1660Lectures depuisLe jeudi 23 Mars 2012
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Une lecture de |
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« Ne serait-ce que par la manière dont Paulus Hochgatterer traite ses personnages, principaux et secondaires, ce voyage d’hiver dans une ville de la province autrichienne vaut le détour : quel que soit le nombre de protagonistes à jouer un rôle dans cette histoire, jamais ne s’insinue, pendant la lecture, le sentiment que cela suffit. Disons-le comme ça : ces dernières années, il y a eu en Allemagne, en Autriche et en Suisse quelques excellents polars. Dans ce cercle distingué, La Douceur de la vie de Paulus Hochgatterer est l’un des meilleurs : magnifiquement construit, génialement raconté, parfaitement mis en scène. Brillant. » (Deutsche Welle) « Le panorama impressionnant à faire frémir d’une province mondialisée, une étude sociale pénétrante de notre époque désespérément opulente, ici dans l’Autriche profonde, et partout où se mêlent inextricablement l’abondance et l’abandon. » (Neue Zürcher Zeitung) « Quand Paulus Hochgatterer nous offre le Mal enrobé dans du sucre comme des chocolats empoisonnés, on lui succombe immédiatement. » (Frankfurter Allgemeine Zeitung) « Paulus Hochgatterer écrit en phrases dépouillées et extrêmement expressives, dont l’essentiel réside entre les lignes. Il démontre sa maîtrise en cela que, chez lui, le mécanisme ne grince jamais, la tension de l’inquiétant monte sans rupture de chapitre en chapitre. » (Literarische Welt) « Tout est là de ce qu’il faut à un polar : le cadavre dans un état effroyable, les enquêteurs amochés par la vie, les suspects – et outre tout un tas de faux indices, quelques-uns d’une clarté troublante. Mais comme dans tout bon polar il n’en va dans celui-ci qu’en surface de l’élucidation d’un meurtre. (…) Ce qui intéresse Hochgatterer dans ce livre, comme dans ses précédents récits et romans, n’est rien de moins que la précarité de l’animal humain, la fragile contruction que nous avons pris l’habitude de considérer comme notre moi. » (Tagesanzeiger) « Très ingénieusement, Paulus Hochgatterer a construit son roman à partir de différents points de vue. Il en résulte quelque chose de plus que l’addition des parties distinctes. Alors qu’habituellement un polar est raconté dans la perspective d’un personnage, le plus souvent le détective, Hochgatterer lui déplace le point de vue et le ton. (...) Dans une grande sûreté de style, Hochgatterer crée avec les subtils recoupements et liaisons dans les sept perspectives des personnages tout un monde en arrière-plan. » (Standard) « Dans ce livre, rien n’est superflu. Chaque phrase porte. Chaque personnage est vivant. Ce qui laisse une impression durable, c’est l’atmosphère de peur qui hante une petite ville et qui a à voir non seulement avec des actes de violence mais aussi avec la compréhension de la finitude fondamentale de l’existence. » (ORF) |