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GUILLAUME CHEREL |
La Femme Qui Mangeait Des FleursAux éditions THE MELMAC CAT |
315Lectures depuisLe lundi 31 Mai 2021
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Une lecture de |
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| En ce mois de juin 2021 débute à Marseille une nouvelle aventure éditoriale, sous l’intitulé « The Melmac Cat ». Très exactement 21 ans, jour pour jour, après le lancement de L’écailler du Sud, un de ses cofondateurs, Patrick Coulomb, démarre avec Melmac un nouveau jeu de rôle littéraire. Fort des antécédents éditoriaux et de l’expérience en tant qu’auteur de son fondateur, Melmac, « griffe éditoriale » de The Melmac Cat, prend du service sous les auspices du « polar ». Ce n’est pas la première fois, à dire vrai, que le Cat est sous les feux de la rampe. Pseudo journalistique épisodique de Patrick Coulomb à la fin du siècle dernier, The Melmac Cat a aussi publié, en « impression à la demande », une dizaine de titres dont plusieurs romans noirs de Sébastien Doubinsky et en partenariat avec les éditions Gaussen ainsi que les éditions Ramsay, plusieurs recueils de nouvelles. Mais cette fois pour Melmac, c’est en librairie et en solo que sonne l’heure de nouveaux titres. Le premier – sortie officielle le 17 juin – s’intitule La femme qui mangeait des fleurs et est signé d’un auteur qui a une vingtaine d’ouvrages derrière lui, Guillaume Chèrel, auteur d’un « Poulpe » et de plusieurs autres titres (chez Michel Lafon et J’ai Lu notamment). La femme qui mangeait des fleurs est un polar exotique, à la couverture flashy, qui se passe sur l’île de La Réunion, où le « détective public » Jérôme Beauregard va arpenter le cirque de Mafate et les nuits de Saint-Denis à la recherche de la sulfureuse Sabrina… Suivra à l’automne Julia, une île, d’Olivier Boura, historien et auteur, spécialiste de Marseille mais aussi curieux des étrangetés de l’histoire. Ici, c’est le surgissement d’une île inconnue en Méditerranée, au large de la Sicile, qui a titillé les neurones de l’écrivain. Le plus fou étant que l’histoire et vraie ; elle s’est déroulée en 1831, et Olivier Boura la triture à sa manière pour en faire un « roman-bouffe » passionnant. En 2022, Melmac poursuivra sur le chemin du polar, mais aussi des chroniques urbaines, de la SF et de la poésie |
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