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Une lecture de
PAUL MAUGENDRE

PAUL MAUGENDRE  

Volume 10 : Histoires de voyages dans le temps. Le Livre de Poche N°3772. Parution 4e trimestre 1976. 448 pages.

ISBN : 2-253-00769-2

Entre Hier et Demain…

Combien de fois ne nous sommes pas dits, j’aimerai bien être un peu plus vieux, pour diverses raisons, ou, au contraire, si je pouvais revenir en arrière afin d’éviter certaines erreurs commises à telle ou telle époque, ou au contraire entreprendre telle action ?

Ceci a toujours été une envie ou un regret qui ont mené les hommes vers un destin inéluctable, ce qui n’a pas empêché les romanciers, de science-fiction ou autre genre littéraire, d’extrapoler l’avenir et le passé, pour des raisons nobles ou au contraire néfastes.

Ainsi Cyril Kornbluth met en scène dans Les Dominos un boursicoteur dont l’un des employés vient de mettre au point une machine permettant de se transporter de deux ans dans l’avenir. Or un krach boursier est prévu, nous sommes en 1975, et il désire se rendre en 1977 afin de savoir quelles actions revendre avec profit avant que la bourse s’effondre et à quelle date. Le rêve de bien des banquiers, mais cela ne se passe pas toujours, revenu à la réalité du moment comme cela était prévu. Un paradoxe finement mis en scène qui ne manque pas de piquant pour une histoire publiée à l’origine en 1953.

Par ici la sortie de Lester Del Rey met en présence deux personnes qui se ressemblent étonnamment. Normal puisque l’un est la projection de l’autre mais trente ans plus tard. Et pourtant ils voyagent ensemble dans la machine construite par le premier quelques années plus tard et qu’il s’était projeté dans le futur.

Il est inconcevable de penser que Fredric Brown ne figure pas dans une anthologie de nouvelles policières ou de science-fiction, tant ses textes sont jubilatoires offrant quasiment à chaque fois une chute inattendue. Dans Le paradoxe perdu, nous entrons dans un univers presque parallèle. Shorty McCabe est un étudiant placé au dernier rang, comme les cancres mais c’est un rêveur qui n’est pas vraiment intéressé par le cours de son professeur et ses démonstrations logiques. Il est passionné par la paléontologie et suit les évolutions d’une mouche pendant le ronronnement verbal. Tout à coup la mouche disparait, comme si elle avait absorbée. Shorty lance alors son stylo afin de recommencer l’expérience, et le stylo subit le même sort. Puis c’est la main, et là Shorty commence à être inquiet. Lorsque le corps entier est englouti, il est mis en présence d’une sorte de fantôme qui lui déclare avoir construit un appareil qui permet de se projeter dans l’avenir. Mais quel sera cet avenir ? Avec Fredric Brown, il faut s’attendre à tout et surtout pas au pire mais au meilleur.

Du même Fredric Brown, Expérience, une nouvelle plus courte, trois pages seulement mais intenses, qui confirme son art du texte succinct avec une chute à tomber par terre.

Dans Les éclaireurs, Donald Malcolm nous envoie en compagnie de deux explorateurs du futur à cent millions d’années sur une planète nommée Terre. Ils se réceptionnent, ou se réveillent, sur une plage dans un univers vide, surveillé par la Créature.

Tout comme Fredric Brown, Richard Matheson est un spécialiste de la nouvelle, mais rédigeant également des romans, noir ou de science-fiction, adaptés au cinéma dont Les Seins de glace. Avec L’enfant trop curieux, le lecteur est invité à partager les affres de Robert Graham, qui sortant de son bureau, ne retrouve plus sa voiture. Il est persuadé l’avoir garée à tel endroit mais elle est n’y est point. Et ce trou de mémoire s’amplifie lorsqu’il confond les différents véhicules dont il a été le propriétaire, puis se mélange dans les adresses des divers domiciles qu’il a habités. Et cela ne s’arrange pas.

J.G. Ballard, avec Le jardin du temps, nous entraîne dans une histoire romantique et bucolique, jusqu’à un certain point. Tandis que sa femme interprète à la harpe des morceaux de Mozart, le comte Axel se rend dans son parc, prélevant au passage des fleurs hautes de deux mètres, dont la tige casse comme du verre et dont le cœur de cristal semble drainer la lumière. Au loin une armée de loqueteux accompagnés de soldats guère mieux lotis, s’avance et lorsque le comte cueille une des fleurs, enfermant dans sa main le cœur, le temps s’arrête, recule même, l’armée se retrouvant plus loin que précédemment. Mais cette avance est inéluctable car il reste peu de bourgeons.

Avec ce texte, nous entrons plus dans le domaine du fantastique que de la science-fiction, un sentiment qui se prolonge avec la suite qui emprunte à la psychologie, voire à la psychiatrie. C’est le domaine du rêve et du cauchemar qui prend le relais.

Mais le voyage dans le temps implique des retours en arrière, comme Le jardin du temps, et surtout Souvenir lointain de Poul Anderson qui nous renvoie à la préhistoire avec un homme revenant à la racine de ces ancêtres grâce à un appareil sophistiqué. Mais se plonger dans le passé puis revenir au présent laisse parfois un goût amer, le présent devenant fade.

Un volume indispensable dans toute bonne bibliothèque de l’amateur éclairé, ou pas, qui permet de retrouver des textes initiatiques et découvrir des auteurs confirmés ou n’ayant que peu produit. Un savoureux mélange qui se lit le soir, à tête reposée pour la plupart des nouvelles car parfois celles-ci sont elliptiques, à l’instar de Par ici la sortie, La cure et quelques autres qui relèvent surtout de la psychanalyse.

Mais avant de découvrir les nouvelles, les compilateurs de cette anthologie ont eu la bonne, la très bonne idée même, de proposer une introduction effectuant une sorte de Science-fiction pour les nuls, et une préface présentant plus particulièrement des textes d’exploration du passé ou de l’avenir, ce qui permet de constituer, pour ceux qui le désirent, une bibliothèque sélective dans un large spectre de titres. Une bibliothèque idéale en quelque sorte.

1 - Jacques GOIMARD & Demètre IOAKIMIDIS & Gérard KLEIN : Introduction à l'anthologie, pages 7 à 14

2 - Jacques GOIMARD : Préface pages 15 à 30, Préface

3 - Cyril M. KORNBLUTH : Les Dominos (Dominoes), pages 31 à 43, trad. Marcel BATTIN

4 - Lester DEL REY : Par ici la sortie (And It Comes Out Here), pages 45 à 62, trad. Marcel BATTIN

5 - Fredric BROWN : Le Paradoxe perdu (Paradox Lost), pages 63 à 84, trad. Frank STRASCHITZ

6 - Donald MALCOLM : Les Éclaireurs (The pathfinders), pages 85 à 96, trad. François VALORBE

7 - Richard MATHESON : L'Enfant trop curieux (The Curious Child), pages 97 à 109, trad. Michel DEUTSCH

8 - James Graham BALLARD : Le Jardin du temps (The Garden of Time), pages 111 à 122, trad. Elisabeth GILLE

9 - Poul ANDERSON : Souvenir lointain (The Long Remembering), pages 123 à 138, trad. Francis CARSAC

10 - Henry KUTTNER & Catherine L. MOORE : La Cure (The Cure), pages 139 à 155, trad. Marcel BATTIN

11 - Jack FINNEY : Le Troisième sous-sol (The third level), pages 157 à 163, trad. Gilbert IBERY

12 - Poul ANDERSON : L'Homme qui était arrivé trop tôt (The Man Who Came Early), pages 165 à 199, trad. Bruno MARTIN

13 - Fredric BROWN & Mack REYNOLDS : Sombre interlude (Dark Interlude), pages 201 à 212, trad. Jean SENDY

14 - Henry KUTTNER & Catherine L. MOORE : Saison de grand cru (Vintage Season), pages 213 à 270, trad. P. J. IZABELLE

15 - Fredric BROWN : Expérience (Experiment), pages 271 à 273, trad. Jean SENDY

16 - William TENN : Moi, moi et moi (Me, Myself, and I), pages 275 à 294, trad. Frank STRASCHITZ

17 - Jack WILLIAMSON : Regard en arrière (Hindsight), pages 295 à 322, trad. Pierre BILLON

18 - William TENN : Comment fut découvert Morniel Mathaway (The Discovery of Morniel Mathaway), pages 323 à 343, trad. Frank STRASCHITZ

19 - Poul ANDERSON : La Patrouille du temps (Time Patrol), pages 345 à 399, trad. Bruno MARTIN

20 - Alfred BESTER : Le Temps et la 3e Avenue (Of time and Third Avenue), pages 401 à 411, trad. Frank STRASCHITZ

21 - Robert A. HEINLEIN : Vous les zombies... (All You Zombies—), pages 413 à 432, trad. Michel DEUTSCH

22 - Dictionnaire des auteurs pages 435 à 442

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Une autre lecture du

La Grande Anthologie De La Science-fiction

de
PAUL MAUGENDRE

PAUL MAUGENDRE

Histoires de fins du monde. Le Livre de Poche N°3767. Parution 4e trimestre 1974. 416 pages.

ISBN : 2-253-00608-4

Pour la fin du monde prends ta valise Et va là-haut sur la montagne on t'attend…

Gérard Pelaprat.

Dans sa préface, Jacques Goimard recense toutes, ou presque, les formes de la fin du monde vu par les auteurs de science-fiction, et en premier l’ouvrage Les Posthumes de Restif de la Bretonne datant de 1802. Il s’agit d’un thème terriblement actuel puisqu’il s’agit de la fonte des glaces polaires. Un phénomène inquiétant souvent pris à la légère par les hommes politiques, quel que soit le pays qu’ils dirigent, mais également mis en doute par certains scientifiques.

Mais ce qui revient le plus souvent dans cet inventaire, c’est la fin du monde provoquée par l’humain se servant d’armes nucléaires. L’Apocalypse nucléaire ou bactériologique déclinée avant, pendant ou après. La plupart du temps c’est la troisième version qui est décrite mais si le résultat compte, il ne faut pas oublier qu’auparavant, il y eut les prémices.

Dans Foster, vous êtes mort ! de Philipp K. Dick, nous suivons le parcours d’un gamin dont le père est anti-P. C’est-à-dire, que contrairement à ses voisins, à ses concitoyens, il a refusé de faire installer un abri antiatomique dans son jardin. Il est le propriétaire d’un magasin de meubles en bois, mais la mode détourne les éventuels clients, et sa boutique végète. Foster, en rentrant de l’école où il s’est une fois de plus fait sermonner par son institutrice est en extase devant un abri nouvelle génération. Le vendeur lui refuse la visite de l’installation car il n’a pas l’argent nécessaire. Pourtant Foster en rêve et il parvient enfin à convaincre son père d’acheter cet abri, quitte à s’endetter pour de très nombreuses années.

Ecrite en 1954, Philipp K. Dick décrit la paranoïa dont étaient victimes les Américains à cette époque, nombreux étant ceux qui installèrent des abris dans leur jardin. Mais l’auteur dénonce aussi le système commercial, les abris étant dépassés au bout de quelques mois, et il fallait investir à nouveau dans de nouvelles installations à la pointe du modernisme et des technologies. Achetez ou mourez, c’est le nouveau slogan.

Tandis que les têtes nucléaires tournoyaient haut dans le ciel… Ainsi débute la nouvelle de Robert Bloch : Le jour se lève. La guerre n’est pas terminée mais un homme, un rescapé habillé d’un costume spécial réservé, volé peut-être, aux militaires de haut rang, sort de son abri blindé et part à la découverte des dégâts. De nombreux objets souvent futiles jonchent les routes, mais qui possédaient leur importance lors de leur utilisation, dont les bretelles de faux seins en caoutchouc dans lesquelles il manque de se prendre les pieds. Et puis les cadavres fauchés en pleine activité, bricolage ou simulacre de la reproduction.

Loth de Ward Moore nous renvoie à un épisode de la Bible, lors de la destruction de Sodome. Le changement en statue de sel de la femme de Loth, alors qu’il fuyait la ville promise à la destruction en compagnie de son épouse et de ses filles.

Comme tous les habitants de Los Angeles, et plus particulièrement ceux de Rambla Catalina, David Jimmon s’apprête à fuir sous les instances du gouvernement. Il a chargé dans sa voiture tout le nécessaire indispensable pour une nouvelle vie dans la campagne ou les bois et la place est comptée pour que sa femme Molly, sa fille Erika, et ses deux fils Jir et Wendell s’installent à l’intérieur. Mais le chien n’est pas invité au voyage, malgré les récriminations de Wendell. Il saura bien se débrouiller seul, argue David Jimmon. Et les voilà partis, sans un mot pour les voisins ou les amis, Pearl et Dan, au grand désespoir de Molly. La route est encombrée et David s’évertue à emprunter de petites routes. Car David a tout préparé, soigneusement, et rien ne lui fera changer d’idée.

Se réveiller dans un lit, entourée de drôles de créatures habillées de combinaisons spatiales semblables à des tenues de ski avec au dessus de la tête comme un bocal à poissons rouges, voilà qui a de quoi étonner. Mais lorsqu’on est la seule ou presque à réchapper d’une catastrophe, on ne se pose guère de questions, sauf les essentielles. Ces créatures venues d’ailleurs ont la particularité de ressembler à des animaux, ours, chevreuil, lapin… Rien de sera pareil à avant, surtout lorsque l’on a toujours vécu en étant Carnivore. Une nouvelle étrange signée G. A. Morris.

Durant la guerre atomique, les soldats subissent un enfer quotidien, et le soir ils reçoivent des soins et des médicaments leur permettant de passer une bonne nuit. Et le lendemain matin, ils repartent au combat frais et dispos. C’est ainsi que Denton perd la notion du temps et lorsqu’il rend visite à Miriam, celle qu’il aime, cloîtrée dans un hôpital, il croit que sa dernière visite remonte à trois jours. Erreur, elle affirme que cela fait un mois qu’il n’est point venu. Et que la guerre dure depuis dix ans. Il n’en revient pas. Il part à la recherche de médicaments pour la soulager, mais il est difficile de trouver du monde dans cet hôpital où tous les médecins sont des robots. Une vision futuriste guère réjouissante par Idris Seabright dans La mort de chaque jour.

L’arrêt des nuages aux frontières, c’est ce que l’on veut nous faire croire, mais dans la réalité fictionnesque, c’est tout autre. Ainsi dans Seule une mère de Judith Merrill, les dégâts collatéraux existent, surtout pour les femmes enceintes. Mais l’amour maternel est aveugle, c’est bien connu. Heureusement.

L’Intelligence artificielle prend de plus en plus de place dans notre quotidien, quitte à nous rendre esclave. Dans Le vaisseau fantôme de Ward Moore, une anticipation de 1951, un avion bombardier se pose sur un terrain d’atterrissage. Personne n’est présent pour le réceptionner et surtout pour l’alimenter en kérosène. La pompe se met toute seule en position, l’ouverture est automatique, et le flot de carburant se déverse, tandis qu’à l’autre bout de la chaine, à des milliers de kilomètres de là, une machinerie extrait et transforme le précieux liquide. Tout cela sans la main de l’homme. L’avenir est à la technologie automatique, mais pourquoi et dans quelles conditions cela est-il possible ?

Enfin, dans La lune était verte de Fritz Leiber, nous entrons dans l’intimité d’un couple, confiné comme leurs semblables, dans un appartement en rez-de-chaussée. Seul l’homme peut aller vaquer au dehors de temps à autre. Pendant ce temps, Effie, sa femme, rêve devant la fenêtre obturée de volets en plomb placés à l’intérieur de la pièce. Pourtant, un soir, elle ose défier son mari absent et ouvre les volets, admirant derrière les vitre la lune verte. Elle croit apercevoir une silhouette, mais son mari s’interpose. La jalousie est toujours aussi prégnante dans les moments critiques… surtout lorsque l’homme s’aperçoit que sa femme est enceinte, ce qu’il n’avait pu réaliser depuis des années.

Or, les naissances sont rares, et pourtant l’humanité en a besoin, pour des raisons qui dépassent l’entendement :

Lorsque la communauté remonterait à la surface, chaque enfant bien portant prendrait une valeur inestimable, non seulement pour la survie de l’espèce mais encore pour une éventuelle reprise de la guerre contre les communistes.

Une nouvelle édifiante écrite en 1952 !

Dix-huit nouvelles qui nous montrent, nous décrivent l’avant, le pendant et l’après d’une guerre nucléaire. Et comme certains le diront fort justement, on préfère l’avant car après c’est pendant…

Sommaire :

Introduction à l'anthologie, pages 7 à 14,

Préface : Jacques GOIMARD, Le Thème de la fin du monde.

Philip K. DICK : Foster, vous êtes mort ! (Foster, You're Dead). Trad. Bruno Martin.

Theodore STURGEON : Mémorial (Memorial). Trad. Frank Straschitz.

Robert BLOCH : Le Jour se lève (Daybroke). Trad. P. J. Izabelle.

Ward MOORE : Loth (Lot).

Idris SEABRIGHT : La Mort de chaque jour (The Death of Each Day). Trad. Arlette Rosenblum.

Judith MERRIL : Seule une mère… (That Only a Mother). Trad. Alyette Guillot-Coli.

Fritz LEIBER : Le Prochain spectacle au programme (Coming Attraction. Trad. P. Soulas.

Ward MOORE : Le Vaisseau fantôme (Flying Dutchman). Trad. Roger Durand.

Lester DEL REY : Les Gardiens de la maison (The Keepers of the House). Trad. Denise Hersant.

Robert SHECKLEY : Les Filles et Nugent Miller (The Girls and Nuggent Miller). Trad. René Lathière.

Alfred BESTER : La Vie n'est plus ce qu'elle était (They Don’t Make Life Like They Used To). Trad. Michel Deutsch.

G. A. MORRIS : Les Carnivores (The Carnivore). Trad. Didier Coupaye.

Fritz LEIBER : La Lune était verte (The Moon is Green). Trad. Didier Coupaye.

William TENN : Un système non-P (Null-P). Trad. Marcel Battin.

Horace B. FYFE : Que la lumière soit (Let There Be Light). Trad. Bruno Martin.

Walter Michael MILLER : Frère Francis (A Canticle for Leibowitz).

William TENN : La Ruée vers l'Est (Eastward Ho!). Trad. Christine Renard.

Stephen Vincent BENET : Dans les eaux de Babylone (By the waters of Babylon). Trad. Marcel Battin.

Dictionnaire des auteurs.

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