Monique Montpetit et Robert CloutierISBN 978-2-9811390-0-9 St-Bruno-de-Montarville, le 6 novembre 2009 - De l’INÉDIT ? Si, si. Dans les romans québécois, on a cambriolé des banques, des églises, des musées, des manoirs... Jamais une société d’histoire. Pourtant certaines recèlent des trésors susceptibles d’exciter les convoitises. On s’est trucidé dans la cuisine, la chambre à coucher, le salon, aux champs, dans les ruelles, les chapelles… Jamais à la Société d’histoire. Des gens de tous poils ont mené l’enquête : sergents-détectives, privés, journalistes, antiquaires, libraires… Jamais le président d’une société d’histoire. On a traqué les malfaiteurs dans les bars, au travail, au chalet, au gymnase, rarement à travers les arbres généalogiques, jamais dans les inventaires des biens. MEURTRE à la Société d’histoire, un polar dont l’action plonge le lecteur au cœur de l’une d’entre elles. Ses membres font leur entrée sur la scène de notre littérature. Des nouveaux venus qui ont du flair, la mémoire longue et une façon originale de dénouer l’intrigue. À PROPOS DU LIVRE Avec un cadavre au sous-sol et le vol du joyau de sa collection, la semaine commence très mal à la Société d’histoire de Méry. La victime est l’archiviste Jérôme Viel et l’objet dérobé, rien de moins que les mémoires de Charles de Méry, premier seigneur des lieux. Un manuscrit datant du XVIIIe siècle, qu’on dit maléfique.Confirmant sa funeste réputation, le manuscrit fait encore couler le sang et l’encre. Qui tire les ficelles ? Un bibliophile, un membre de la Société d’histoire, un descendant de Charles de Méry ou… quelqu’un d’autre ? PROPOS DES AUTEURS Après la publication de deux romans et un détour par l’univers des communications, cette fois, Monique Montpetit nous offre un polar. Quant à Robert Cloutier, diplômé en relations industrielles et passionné d’histoire, il monte à son tour dans le train de l’écriture. Membres de la Société d’histoire de Montarville, les auteurs vivent à Saint-Bruno, sur la Rive-Sud dans la région de Montréal, où ils rédigent la suite de MEURTRE à la Société d’histoire.
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