Jean- Pierre PLANQUE

« Mais où ? Où étiez-vous ? » Yann se mit à rire comme un enfant. « Où étions-nous ? Te rends-tu compte, mauvais élève, que nous étions partout ! Dans le monde tout entier. J'ai bu son sexe à Venise, goûté ses seins à Paris et épousé ses lèvres (...) Lire la Suite

J'ai dû tomber cette nuit. Je ne me souviens de rien... Quand je me suis levé ce matin, je me suis regardé dans la glace, au dessus du lavabo de la salle de bains rose. J'avais une sale tête et des marques autour de l'œil droit, comme si quelqu'un m (...) Lire la Suite

Quand Linora ôta le piercing de sa narine gauche, je sentis une forte érection monter de mon bas-ventre. Elle me regardait à travers les longs cils synthétiques qu'elle avait collés sur ses paupières... (...) Lire la Suite

Il me regarda longuement puis, émergeant d'un lointain ailleurs, sa voix me parvint, lasse, monocorde : « La porte était fermée. Fermée, tu comprends ? Le système de fermeture est automatique. Ils seront là dans un instant... » (...) Lire la Suite

J'écris, j'aligne des mots. Je ne sais plus très bien ce qu'on me reproche. Ah, oui. Il paraît que tout ce que j'écris finit par arriver... C'est grave, ça ? (...) Lire la Suite

À certaines heures pâles de la nuit, quand je suis loin de toi, je t'imagine tout à fait normale. Tu es simplement nue. Tu portes juste un string rouge sang et des talons aiguille... (...) Lire la Suite

Le coup de la panne, le truc idiot ! Il me manque trois clopes pour finir ma nouvelle. Je sais comme je fonctionne. Tout est réglé. J’y ai veillé. Après, j’irai dormir... Il est tard, très tard. (...) Lire la Suite

Je suis Melzar Rahmdi, Le Roi du Frigo. C’est moi qui garde la taule quand Jordi est de sortie. Je suis payé pour ça. Quand je dis payé… (...) Lire la Suite