Sophie, avocate, son mari Thomas, commissaire de police, et Arthur, leur fils de 5 ans, habitent une maison (et quelle maison !) dans les dunes de la Mer du Nord.
Par une après-midi ensoleillée, Arthur, alors qu’il jouait au cerf-volant, disparait et après de mois de recherche, il reste introuvable.
Le temps passe, Sophie abandonne la magistrature pour devenir policière. Trois ans plus tard, elle intègre une équipe dans un service dirigé par son mari.
Et la série, de 3x90 minutes, débute.
Trois opus, trois affaires autonomes qui ne manquent pas d’originalité scénaristique, trois enquêtes indépendantes sur fond de recherche d’Arthur, recherche qui débouche sur la mise à jour d’un réseau de trafic d’enfants, porte ouverte à une saison 2.
Wikipédia, dans sa volonté inébranlable d’édification des masses, écrit :
« Cette fiction est une coproduction entre France.tv studio, Les Gens (division francophone de la maison de production flamande De Mensen), ndF international Production, Gardner & Domm, ARD Degeto et la RTBF (télévision belge), avec la participation de France Télévisions et le soutien financier de Screen Flanders »
Et le lecteur de cette information de s’écrier in petto : « voilà une série qui ne manquait de moyen ! »
Et le regardeur de s’exclamer : « Tout ça pour ça ! »
Car si les scénarios des trois volets font preuve de singularité, il en va tout autrement de la mise en images, qui ne se départit pas des autoroutes sécurisées et aseptisées telles celles qui parcourent quotidiennement les séries fédératrices comme « Un si grand soleil » ou « Plus belle la vie »
L A
Le mardi 30 Novembre 2021 |
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