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- LES MYSTERES DE L OUEST - |
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Scénario et RéalisationCréée par Michael Garrison |
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DistributionRobert Conrad >... > James T. West (104 épisodes, 1965-1969) ||| Ross Martin >... > Artemus Gordon (104 épisodes, 1965-1969) ||| Dick Cangey >... > Henchman / ... (49 épisodes, 1966-1969) ||| Whitey Hughes >... > Henchman / ... (48 épisodes, 1966-1969) ||| Red West >... > Henchman / ... (35 épisodes, 1967-1969) ||| Jimmie Booth >... > Carriage Driver / ... (35 épisodes, 1965-1969) ||| Tommy J. Huff >... > Henchman / ... (18 épisodes, 1968-1969) ||| Fred Stromsoe >... > Henchman / ... (17 épisodes, 1966-1969) ||| Bob Herron >... > Henchman / ... (16 épisodes, 1965-1968) ||| Jerry Laveroni >... > Soldier / ... (15 épisodes, 1967-1968) ||| Michael Dunn >... > Dr. Miguelito Loveless / ... (10 épisodes, 1965-1968) ||| Douglas Henderson >... > Col. James Richmond / ... (10 épisodes, 1966-1969) ||| Michael Masters >... > Henchman / ... (9 épisodes, 1965-1967) |
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Devant le petit écran |
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Saison 1. Cette saison voit se succéder plusieurs producteurs et cette instabilité se traduit dans des hésitations scénaristiques. Certains épisodes se cantonnent au western pur, époque oblige, d’autres louchent vers le fantastique ou la SF, mais la forte dose d’humour, où baignent les épisodes, masque ce manque de choix quant à l’orientation de la série. La seconde constante de cette saison est la place particulière qu’occupe la gent féminine : Femmes fatales ; suppôts des méchants ; mais substantiellement innocente aux yeux d’un West séducteur et magnanime. Ainsi, invariablement il pardonne jusqu’à leur duplicité voire leur tentative de meurtre sur sa personne. Mais quoi qu’il en soit, la plupart des éléments qui vont faire le succès de la série sont présents à l’écran : le train qui conduit le duo d’espions aux quatre coins des États-Unis ; les gadgets qui permettent à West de faire face aux situations les plus délicates ; la propension aux déguisements d’un Artemus Gordon dont le personnage demeure certes marginal, mais s’affirme déjà comme un contrepoint comique ; le découpage en acte, coupures publicitaires obligent, que pointent des cartons qui sont autant de cliffhanger. Saison 2. Avec cette deuxième saison, la série trouve sa voie. Exit le western, place au baroque surréaliste et anachronique, place au fantastique excentrique. Ainsi, les machines infernales et autres gadgets rivalisent avec les soucoupes volantes, les dispositifs pour rapetisser les humains, à voyager dans le temps… De même, la galerie des méchants s’étoffe de personnages hauts en couleur, plus mégalomaniaques les uns que les autres. Et si au final, le Dr. Miguelito Loveless les surpasse, chacun lui dispute avec acharnement sa place que ce soit le comte Manzeppi, le docteur Faustina, Gustave Mauvais, le marquis Philippe de la Mer, le juge Mac Guigan, le sénateur Stephen Fenlow, Braine, Talamantes… Le personnage d’Artemus Gordon s’étoffe et se hisse à l’égal de James T. West. Ses déguisements cessent d’être anecdotiques et participent entièrement au scénario ainsi qu’à la tonalité humoristique où baigne la série. Notons enfin l’évolution des vignettes de fin d'acte : dessins qui figent le cliffhanger sur laquelle se referme le susdit acte. Saison 3. La première saison hésitait entre deux orientations, western et fantastique. La saison 2 avait opté pour un extraordinaire souvent délirant. La troisième saison marque le retour du western pur avec ses indiens, ses diligences, ses convois de chariots, ses coups de feu, poursuites à cheval et ses bagarres dans des saloons au mobilier ultra fragile. Plusieurs éléments expliquent cette bifurcation vers le western. Les scénarios sont probablement plus rapidement écrits ; il n’est nul besoin de recourir à des effets spéciaux compliqués ; des décors utilisés pour d’autres séries deviennent recyclables. A ces ingrédients qui réduisent les coûts de production, il convient d’ajouter le goût que manifeste encore le public pour le genre. Pour autant la série ne se départit pas de ces fondamentaux : humour et excentricité qu’accentuent les déguisements perpétuels de Gordon ; personnages féminins au mieux troubles sinon vénales, comploteuses, en un mot garces. Saison 4. Cette nouvelle et dernière saison se caractérise par une certaine confusion, confusion que plusieurs raisons expliquent. • Lors de la saison précédente, Robert Conrad se blesse, ce qui contraint les producteurs à reporter le tournage de quelques épisodes, épisodes inclus dans cette quatrième saison. • Ross Martin, victime d'une attaque cardiaque, doit interrompre sa participation à la saison. Il sera remplacé de façon chaotique. • Certains scripts se contentent de recycler des scénarii des saisons précédentes ; certains autres souffrent d’une qualité discutable. • Quelques épisodes, qui flirtent avec le fantastique, manquent cruellement de moyens. • etc. Au final, cette quatrième saison se révèle la moins intéressante de toutes. Ceci explique-t-il l’annulation de la série ? Les producteurs la justifieront en arguant de la violence dont elle était porteuse… L A
Le lundi 22 Octobre 2018 |
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PREMIERE SAISON (1965-1966) Guide des épisodes ![]() |
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DEUXIEME SAISON (1966-1967) Guide des épisodes ![]() |
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