Les protagonistes principaux :
• Guy Béranger, assassin d'enfants libéré en conditionnelle, est accueilli par les moines de l'abbaye de Vielsart.
• Chloé Muller, jeune inspectrice de la police fédérale, rongée par le souvenir de l’agression dont, enfant, elle fut victime, agression qui couta la vie à sa sœur, est responsable de la protection de Guy Béranger.
• Lucas Stassart, moine de l'abbaye de Vielsart, originaire de ce même village, traumatisé par un accident de chasse, a œuvré pour que Guy Béranger soit accueilli parmi les membres de la communauté religieuse.
• Patrick Stassart, commerçant surendetté, rêve de rouvrir la brasserie familiale.
• Vincent Stassart, magouilleur à la tête d’un réseau de braconniers, est enclin méthodes expéditives et à la violence qu’elles requièrent.
• Émile Stassart fils de Patrick et Judith Stassart est atteint d’une maladie dégénérative.
• Michaël Charlier, gendarme local, père de deux enfants.
Le lieu :
• Un tranquille petit village de l'Ardenne en bordure de foret.
Tous les fils sont là, le métier à tisser un polar sombre peut se mettre en mouvement.
Guy Béranger vient à peine d’arriver, sous les huées des habitants de Vielsart, que le corps sans vie d’une fillette est retrouvé dans une chapelle… Pour tous, le coupable ce ne peut être que lui, lui au regard inquiétant, à l’attitude lointaine, lui qui semble insensible à tout.
Et le fil de trame se glisse entre les fils de chaîne… Et c’est un nouveau meurtre d’enfant qui succède au premier.
Guy Béranger est-il le meurtrier ou s’agit-il d’un copycat ?
Une inquiétante jeune femme, admiratrice de Guy Béranger, s’installe au camping du village dans l’espoir de le rencontrer…
Et le fil de trame se glisse entre les fils de chaîne dont la tension augmente… l’enquête piétine, les fils pairs et impairs se croisent, mais le motif demeure obscur et les morts s’accumulent.
La machine s’emballe. Au coup de revolver succède un coup de fusil. Les flashbacks dessinent le contour du drame, l’enchainement des méchancetés stupides, de hasards et d’amour. La haine latente explose et le pire des sordides envahit le village, car les monstres ont parfois un visage d’ange.
Avec cette première saison, cette série belge, qui s'inspire librement de l'affaire Dutroux (1), frappe juste, frappe fort et se hisse sans coup férir au rang de la haute couture tant en matière de scénario que de mise en scène ou de jeu d’acteurs.
1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Dutroux
L A
Le mercredi 8 Mars 2017 |
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