|
![]()
|
|||
- THE MISSING - |
||||
Scénario et RéalisationRéalisateurs: Tom Shankland et Ben ChananScénario: Harry Williams et Jack Williams |
![]()
|
|||
DistributionJames Nesbitt : Tony Hugues, le père d'Oliver ||| Frances O'Connor : Emily Hugues, la mère Oliver ||| Tchéky Karyo : Julien Baptiste, un policier français ||| Émilie Dequenne : Laurence Relaud ||| Jason Flemyng : Mark Walsh ||| Ken Stott : Ian Garrett ||| Arsher Ali : Malik Suri ||| Titus De Voogdt : Vincent Bourg ||| Saïd Taghmaoui :Khalid Ziane ||| Anamaria Marinca : Rini ||| Éric Godon : Georges Deloix ||| Anastasia Hille : Celia Baptiste ||| Johan Leysen : Karl Sieg ||| Thomas Stuyck : un policier ||| Jean-François Wolff : Alain Deloix ||| Oliver Hunt : le petit Oliver Hugues ||| Mathéo Dubus : doublure Olivier Hunt ||| Astrid Whettnall : Sylvie Deloix ||| Camille Schotte : Sara Baptiste |
Guide des Episodes ![]() Guide des Episodes |
Devant le petit écran |
|
« Broadchuch » ou « The Killing », pour ne citer que ces deux séries, ont habitué le spectateur à ce que l’enfant soit au coeur de l’intrigue. « The missing » emprunte cette même voie : un enfant disparait. Et voilà le temps au centre de la narration. Saison 1 Pour le père, ce jour-là, le temps a suspendu son vol, il s’est figé dans le gouffre béant de l’absence. Pour la mère, ce manque indépassable n’a été que voilé par un temps bégayant. 2006-2014-2009, les jours s’enchaînent et s’emmêlent dans la contemporanéité du drame et de l’espoir obsessionnel. Père supplicié, qui refuse l’inacceptable ; mère littéralement terrassée, qui au moindre frémissement replonge dans ce passé ineffaçable ; policier tourmenté qui s’obstine par nécessité vitale… et au bout de cette longue quête une vérité aussi banale que sordide. Tant pour sa mise en scène, pour sa lenteur maitrisée, pour sa double ligne de temps, pour ses acteurs totalement investis, cette première saison de « The missing » constitue une véritable réussite. Saison 2 Noël 2014. Une jeune femme amaigrie et livide débarque sur une place de marché, dans une petite ville d'Allemagne, et s'effondre. Elle s'appelle Alice Webster et était portée disparue depuis onze ans. Le spectateur addict de l’entêtement de Julien Baptiste débarque en terre connue. Cette saison, bien qu’indépendante de la précédente, reprend les principaux éléments qui constituaient l’originalité de « The missing saison 1 ». Le regardeur retrouve le traitement spécial de la ligne temporelle : les flashes-back se succèdent dans un apparent désordre qui s’organise au fil des épisodes ; l’action bondit de Paris à Eckhausen, d’Allemagne en Irak, lieux que la caméra conjugue tantôt au présent tantôt au passé. Comme précédemment, la saison s’attache bien plus à explorer les dégâts psychologiques de la disparition qu’à retranscrire à l’écran les différentes étapes de l’enquête criminelle. Aux bouleversements causés par cette disparition viennent ici se greffer ceux qu’occasionnent la réapparition, puis le suicide. Et à tous ces traumatismes, qui labourent les personnages magistralement campés, les scénaristes ont adjoint une mise en image glaçante du syndrome de Stockholm, clef de voûte de toute l’intrigue. L A
Le mardi 13 Avril 2016 |
|
|
![]() |
|
|
SAISON 1 Guide des épisodes ![]() |
|
SAISON 2 Guide des épisodes ![]() |
|