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- ACTION JUSTICE - |
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Scénario et RéalisationRéalisateurs : Alain Schwartzstein, Jean-Pierre Igoux, Alain Nahum.Scénaristes : Louis Bériot et Tito Topin. |
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DistributionAlexandra Kazan > Sophie Latour || Pierre-Loup Rajot > Paul Mercier || Cyril Lecomte > Yves Lancelot || Elisabeth Macocco > Monique || Justine Perez > Coralie |
Guide des Episodes  Guide des Episodes |
Devant le petit écran |
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Dans ces temps reculés et obscurs où Internet et DSL balbutiaient, où une équipe de scénaristes noircissait les pages du script d’un pilote d’une possible série enchanteresse se déroulant dans un quartier imaginaire d’un Marseille ensoleillé, quelques fervents défenseurs de la justice s’imaginaient pouvoir porter à l’écran le concept d’Action justice (1). Le spectateur, qui exhume cette série réduite à trois malheureux épisodes, comprend immédiatement pourquoi il n’en a pas été autrement (2). Mou, sans rythme ni vraisemblance filmique, chaque épisode étire son scénario durant 90 trop longues minutes et déverse son tombereau de bons sentiments. Les acteurs n’investissent jamais le personnage (3) qu’ils campent préférant adopter une attitude d’observateur les uns vis-à-vis des autres (4). Quant à la ville, elle déserte l’écran par l’entremise de plans mal cadrés. « Action justice », la série, ne peut qu’intéresser le téléspectateur nostalgique du minitel. 1- « Action justice » est une association issue des « Comités Agret » qui 70 défendait Roland Agret condamné en 1970 pour un meurtre qu’il niait farouchement. L’action de ces comités aboutit à sa grâce après sept ans de prison. En 1985 il est rejugé par la Cour d’Assises du Rhône et est acquitté et réhabilité. http://action-justice.fr/organisation 2- Il eut, peut-être, fallu revoir le format et adopter les 50 minutes. 3- Une avocate, un éducateur, un détective privé et une secrétaire. 4- Mais peut-on reprocher à des acteurs d’être mal dirigés ? L A
Le jeudi 6 Novembre 2014 |
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