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Arme Fatale |
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Richard Donner, Mel Gibson, Danny Glover et Joe Pesci en contrepoint comique dans les trois derniers opus… Le succès ne pouvait qu’être au rendez-vous de cette Saga policière. |
Richard Donner |
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Né en 1930 à New York d’un père fabricant de meubles, il mène de concert des études commerciales et théâtrales. Et c’est tout naturellement qu’il s’essaie à la profession d’acteur. Mais il abandonne assez vite pour réaliser en 1958, une série de films publicitaires. Puis, comme beaucoup de cinéastes de cette époque, il se tourne vers la télévision où il réalise entre 1960-1961 six épisodes de la série « Au nom de la loi » puis, entre 1963 et 1964, six épisodes de « La quatrième dimension », « Novak » et « des agents très spéciaux », avant d’enchainer des épisodes de « Perry Mason », « le fugitif » ou « Les mystères de l'Ouest ». Au total, entre 1960 et 1970, il réalise une centaine d’épisodes de différentes séries. En 1961 il tente l’aventure du grand écran avec « X-15 », mais ce n’est que dans les années 70 qu’il effectue réellement sa reconversion vers le cinéma et réalise en 1978 « Superman » puis en 1985 « les Goonies » avant de rencontrer Mel Gibson. |
Mel Gibson |
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Mel Gibson fait sa véritable entrée dans l’univers du cinéma avec le très discuté film « Mad Max » en 1979. Le succès inattendu de ce film à petit budget le propulse aussitôt en haut de l’affiche. Il reprendra d’ailleurs ce personnage à deux occasions, situées cette fois dans un contexte de science-fiction post-apocalyptique avec « Mad Max 2 » et « Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre ». Ce sera au sortir de ce dernier opus de la trilogie Mad max qu’il plongera dans « L’Arme fatale ». Soupçonné de sympathies Républicaines et d’homophobie, Mel Gibson s’est déclaré contre la guerre en Irak et participe fréquemment à des événements publics en faveur des réalisateurs gays et lesbiennes. Quoi qu’il en soit, il reste un catholique traditionaliste qui défraya la chronique lorsqu’il réalisa et produisit « La Passion du Christ ». |
Danny Glover |
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C’est en 1979 qu’il fait ses débuts au cinéma aux côtés de Clint Eastwood dans « L'Évadé d'Alcatraz ». Puis il se tourne vers le petit écran où il multiple les rôles dans des séries avant de revenir au cinéma avec « Witness » de Peter Weir, « Silverado » de Lawrence Kasdan et surtout « La Couleur pourpre » de Steven Spielberg. A l’opposé de Mel Gibsons ses convictions politiques sont sans ambiguïté : Il a apporté publiquement son soutien au président vénézuélien Hugo Chavez ; il envisage de réaliser un film biographique sur le résistant haïtien Toussaint Louverture |
Joe Pesci |
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Cet acteur américain d’origine italienne, après un long détour comme chanteur de bars et guitariste. Explose à l’écran dans le rôle du frère du boxeur Jake La Motta dans « Raging Bull ». Quelques années plus tard on le retrouve dans « Il était une fois en Amérique » puis en 1990 Martin Scorsese fait appel à son talent pour interpréter Tommy DeVito, gangster psychopathe, dans « Les Affranchis ». Rôle qu’il réinvestira avec le personnage de Nicky Santoro dans « Casino ». Mais ces interprétations magistrales de gangsters névrotiques ne lui interdiront pas d’accepter des rôles plus légers comme celui d’un gangster maladroit dans « Maman, j'ai raté l'avion » ou d’un moulin à paroles en la personne de Leo Getz |