|
|
|
Cameron Diaz : Natalie Cook ||| Drew Barrymore : Dylan Sanders ||| Lucy Liu : Alexandra « Alex » Munday ||| Bill Murray : John Bosley ||| John Forsythe : Charles « Charlie» Townsend (voix) ||| Sam Rockwell : Eric Knox ||| Kelly Lynch : Vivian Wood ||| Crispin Glover : L'« Effroyable Sac d'Os » (The Thin Man en V.O) ||| Tim Curry : Roger Corwin ||| Matt LeBlanc : Jason Gibbons ||| Luke Wilson : Pete Komisky ||| Tom Green : Chad ||| LL Cool J : Mr Jones ||| Alex Trebek : lui-même ||| Melissa McCarthy : Doris |
373 lectures |
|||||||
Charlie et ses drôles de dames |
Retour à Charlie's Angels |
|||||||
Charlie et ses drôles de dames |
||||||||
Eric Knox, fondateur de génie et dirigeant de Knox Technologies, a été kidnappé. Roger Corwin, propriétaire du plus grand réseau de télécommunications par satellite du monde, serait-il son ravisseur ? Très vite le trio d’Angels, Natalie, Dylan et Alex, parvient à libérer Eric Knox… elles décident ensuite de pirater l’ordinateur central de l’entreprise de Roger Corwin… Et si sous cet enlèvement se dissimulait un plan machiavélique, un plan conçu afin d’étancher la soif de vengeance ? |
||||||||
Quelques mots sur |
||||||||
Dix-neuf ans après leur disparition de petit écran cathodique, les Charlie’s Angels sont de retour sur le grand écran des multiplex dans la plus grande curiosité des fans de la défunte série. Et le résultat, s’il rompt quelque peu avec le ton de la susdite série, ne manque ni de charme, ni de punch… ni d’humour, ni d’autodérision. Autour d’un scénario parfois confus, ce métrage à 90% féminin, les 10% dévolus au mâle n’étant là que parce qu’il fallait bien des nigauds et des méchants, offre aux yeux ébahis du regardeur une succession de chorégraphies nerveuses et acrobatiques que l’usage du ralenti sublime. Et c’est dans la bonne humeur que les Angels parcourent le chemin de la parodie intelligemment troussée, parsemant leur trajet de clins d’œil délicats. Certes, ce « Charlie et ses drôles de dames » se tient à distance du chef d’œuvre cinématographique, mais il n’avait probablement pas l’intention de se hisser si haut. Sa seule prétention était de distraire le public et c’est mission accomplie |
|