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| Kristen Stewart : Sabina Wilson ||| Naomi Scott : Elena Houghlin ||| Ella Balinska : Jane Kano ||| Elizabeth Banks : Rebekah « Bosley » ||| Djimon Hounsou : Edgar « Bosley » Dessange ||| Sam Claflin : Alexander Brock ||| Noah Centineo : Langston ||| Nat Faxon : Peter Fleming ||| Patrick Stewart : John Bosley ||| Chris Pang (en) : Jonny Smith ||| Jonathan Tucker : Hodak ||| Luis Gerardo Méndez : le « Saint » ||| Robert Clotworthy : Charles « Charlie» Townsend (voix) ||| Hannah Hoekstra : Ingrid ||| David Schütter : Ralph ||| Marie-Lou Sellem : Fatima Ahmed Caméos : Jaclyn Smith : Kelly Garrett ||| Michael Strahan : le « Bosley » de l'agence New-Yorkaise ||| Lili Reinhart, Hailee Steinfeld, Alexandra Raisman et Chloe Kim : les nouvelles recrues de l'agence ||| Ronda Rousey, Danica Patrick et Laverne Cox : les formatrices de l'agence ||| Kate Jackson, Farrah Fawcett, Cheryl Ladd, Cameron Diaz, Drew Barrymore et Lucy Liu apparaissent dans le film via des photographies d'archives issues de la série originale et du premier film. |
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Charlie's Angels |
 Retour à Charlie's Angels |
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Charlie's Angels |
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| Elena Houghlin a travaillé au projet Calisto, mais celui-ci présente une faille de sécurité : il peut devenir une arme redoutable. Elle tente d’en aviser son supérieur, mais comme celui-ci fait la sourde oreille, elle se tourne vers l’agence Townsend… Et son rendez-vous avec Bosley vire au mitraillage intensif : des malfaisants ont dépêché un tueur particulièrement féroce. Pire encore l’agence semble abriter une taupe ! |
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Quelques mots sur |
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| Troisième volet de la franchise issue de la série TV Drôles de dames, 115 épisodes de 48-50 minutes diffusés entre 1976 et 1981 (1). • Côté scénario : à la poursuite d’un MacGuffin aux formes de Rubik's cube lumineux, le tout agrémenté de trahisons, de soupçons de trahisons et d’un tueur plus patibulaire il meurt. • Côté esthétique : chorégraphie acrobatique d’échange de horions et de coups de feu agrémentant un défilé classieux de haute couture • Côté casting : une nouvelle brochette de « Angels » aussi séduisantes que dynamiques et crédibles. • Au bilan : un métrage divertissant qui brandit haut l’étendard féministe, de par le fait qu’il prouve avec brio que le blockbuster n’est pas l’apanage de la gent masculine suant la testostérone. 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Dr%C3%B4les_de_dames |
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