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Dwayne Johnson : Dr Smolder Bravestone, l’avatar d’Eddie et de Spencer ||| Jack Black : Pr Sheldon « Shelly » Oberon, l’avatar de Fridge et Bethany ||| Kevin Hart : Franklin « Mouse » Finbar, l’avatar de Milo et Fridge ||| Karen Gillan : Ruby Roundhouse, l’avatar de Martha ||| Nick Jonas : Jefferson « Seaplane » McDonough, l’avatar d’Alex ||| Awkwafina : Ming Fleetfoot, l’avatar de Spencer et d’Eddie ||| Rory McCann : Jürgen le brutal ||| Danny DeVito : Eddie Gilplin, le grand-père de Spencer et l'ami de Milo ||| Danny Glover : Milo Walker, l'ami d'Eddie ||| Alex Wolff : Spencer Gilpin ||| Colin Hanks : Alex Vreeke ||| Ser'Darius Blain : Anthony « Fridge » Johnson ||| Madison Iseman : Bethany Walker ||| Morgan Turner : Martha Kaply ||| Rhys Darby : Nigel Billingsly ||| Dania Ramirez : l'ex compagne de Smolder ||| Bebe Neuwith : Nora Shepherd, la tante de Judy et Peter Shepherd ||| Marin Hinkle : la mère de Spencer ||| John Ross Bowie : le porte-parole de Jürgen le brutal |
533 lectures |
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Jumanji: Next Level |
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Jumanji: Next Level |
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Spencer a conservé dans le sous-sol de la maison de sa mère le jeu vidéo Jumanji et alors, qu’en vacances, il s’ennuie, il réactive le jeu. Le lendemain, ses amis, Bethany, Fridge et Martha qui viennent le chercher constatent qu’une partie est en cours… et ils sont aspirés à leur tour, entrainant dans le tourbillon le grand-père de Spencer, Eddie, et son ami Milo Walker. Déserts arides, montagnes enneigées et jungle hostile, telles sont les décors regorgeant de dangers que doivent affronter les avatars des téméraires lors de ce nouveau niveau de Jumanji… |
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Quelques mots sur |
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Revoilà la fine équipe du nouveau Jumanji happé de nouveau dans le jeu d‘autant plus infernal qu’il est de « Next level ». Et si le regardeur ne comprend pas pourquoi ils mettent tant de temps à plonger dans cet univers virtuel et pourtant peuplé de dangers bien réels, la suite, à la différence du précédent opus, ne le déçoit pas. C’est une véritable orgie d’effets spéciaux bluffants auxquels il est convié, de la charge des autruches à celle des babouins sur les passerelles incertaines et mobiles, le bit et l’octet est roi incontesté. Certes le scénario reste aussi confus que simpliste, mais là n’est pas le sujet de cet objet filmique qui pille, avec intelligence, humour et autodérision, aussi bien les aventures de Mister Jones que celle d’Harry Potter ou de la « Planète des singes » ou encore du Seigneur des anneaux. Au bilan, le cahier des charges du métrage est rempli : émerveiller le public. |
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