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![]() Retour à Tarzan |
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Conformément à la tradition de sa tribu, si le petit Nasu veut occuper le trône de son père récemment décédé, il doit ramener une statuette émeraude représentant Dieu vert. Mais aux embuches du chemin s’ajoute la volonté d’Ukala de faire main basse sur la statue et de devenir ainsi le roi de la tribu. Avisé de la situation, Tarzan suit d’un œil attentif et bienveillant le parcours du jeune Nasu. Mais voilà que Tarzan localise des chasseurs, des chasseurs à qui il intime l’ordre de quitter la jungle, mais des chasseurs qui n’entendent pas lui obéir. Et la situation se complique lorsque ces chasseurs pactisent avec Ukala |
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Quelques mots sur |
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Certes ce Tarzan apocryphe s’exprime avec une plus grande aisance que certains de ses prédécesseurs, mais ces efforts sont annihilés par sa propension à parler de lui à la troisième personne et à pousser un cri au ridicule mal assumé. Quant au métrage en tant que tel, il se révèle d’une fainéantise abyssale. Aucun élément de suspense ne rythme le traitement de l’intrigue et, comme englouti par les inserts animaliers, il se teinte des coloris d’un documentaire sur des mœurs fictives de peuplades primitives. A cette mollesse narrative s’ajoutent quelques invraisemblances grotesques comme la scène extravagance de la douche. Helene réclame à grand cri une serviette… elle ressort de sous la douche corps enroulé dans celle-ci, une autre nouée sur la tête. Or la scène est censée se dérouler au milieu de la jungle inhospitalière et non pas dans la salle de bain d’un appartement avec vue sur la mer. Mais cette scène n’est pas la seule qui causera l’hilarité du regardeur. Celle où le très jeune Nasu affronte le très musculeux et très féroce Ukala ne manquera pas de plonger le susdit regardeur dans un océan de perplexité. |
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