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| Alexander Skarsgård > > John Clayton III, Lord Greystoke / Tarzan ||| Margot Robbie > > Jane Porter / Jane Clayton ||| Christoph Waltz > > le Capitaine Léon Rom ||| Simon Russell Beale > > M. Frum ||| Samuel L. Jackson > > George Washington Williams ||| Sidney Ralitsoele > > Wasimbu ||| Yule Masiteng > > le chef Muviro ||| Djimon Hounsou > > le chef Mbonga ||| Casper Crump > > le Capitaine Kerchover ||| Jim Broadbent > > Premier Ministre ||| Ben Chaplin > > Capitaine Moulle ||| Ella Purnell > > Jane Porter, jeune ||| Rory J. Saper > > Tarzan, jeune 18 ans ||| Christian Stevens > > Tarzan, jeune 5 ans |
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Tarzan |
 Retour à Tarzan |
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Tarzan |
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| XIXe siècle John Clayton, Lord Greystoke mène une vie paisible depuis une dizaine d'années à Londres, avec son épouse Jane Porter, jusqu’au jour où le Parlement britannique lui transmet une invitation du roi Belge Léopold II. D’abord réticent, il se laisse convaincre par George Washington Williams (1), un pasteur afro-américain qui assiste à la réunion. Mais John Clayton, qui se rend au Congo en compagnie de sa femme, est loin de se douter que cette invitation est un piège que lui a tendu le capitaine Léon Rom. Celui-ci projette de le livrer à un chef de tribu en échange de diamants, diamants qui financeront l’installation sur le territoire du Congo belge de 20 000 mercenaires… |
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Quelques mots sur |
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| Cette année-là, après plus de deux décennies d’absence, tardant revient pour un reboot. Exit les gorilles en peluche poussiéreuse ; Exit les inserts de documentaires animaliers ; Exit jungle de studio ou de jardins botaniques ; place aux bits et octets, aux effets spéciaux sortis des ordinateurs, aux écrans bleus ou verts, place à l’incrustation. Exit le sauveur des cités perdues ou des éléphants ; Exit le gardien des équilibres naturels, de la faune et de la flore ; Exit le bon sauvage blanc, fer de lance d’un colonialisme paternaliste et d’un racisme bienveillant. Place à l’anti-colonialisme blockbusterien. Mais attention, sous les scènes spectaculaires, intrinsèques au genre « bombes lourdes », peut se cacher un post-colonialisme aux relents de « gendarme du monde » : le blanc, anglophone, sauve toujours l’Afrique, cette terre qu’il comprend mieux que les autochtones puisqu’il est l’esprit de la forêt. 1- Ce nom renvoie à un personnage historique : https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Washington_Williams |
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