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Le Défi de Tarzan |
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Le Défi de Tarzan |
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Appelé par un ami moine, Tarzan quitte l’Afrique pour l’Asie du Sud-est. Il doit escorter Kashi, le jeune héritier du trône que les moines ont désigné, jusqu’à la capitale où il sera intronisé. Pour prouver son identité, les moines le soumettent à trois tests, qu’il réussit brillamment. Et en cours de route il doit déjouer les pièges que lui tend le diabolique Gishi Khan, oncle de Kashi qui rêve de voir son fils monter sur le trône. Enfin parvenu à destination, c’est au tour de Kashi d’être soumis à des tests afin de savoir s’il est digne du pouvoir. Kashi réussit ses trois tests… et c’est à ce moment-là que Gishi Khan lui lance « Le défi de la puissance », une épreuve ancestrale tombée en désuétude. Mais Kashi ne peut s’y soustraire, tout au plus a-t-il le droit de désigner Tarzan pour le représenter. |
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Quelques mots sur |
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Tarzan est parachuté dans un pays aux allures d’Inde, du Tibet et d’Indonésie-Malaisie, parachuté avec pour tout bagage son pagne et son long couteau. Sa mission : servir de paedagogus ou, pour être plus précis, de paidagôgós au jeune élu, jeune dalaï-lama sur la route du pouvoir spirituel et temporel de ce pays hybride, route semée d’embuches comme il se doit. Pour mettre en images ce synopsis malingre, Jock Mahoney enfile une seconde et dernière fois la livrée zen d’un Tarzan en voyage professionnel. Autant dire que le métrage flirte avec les abysses du ridicule ! Si l’on pouvait admettre que dans sa jungle post-natale le roi de cette même jungle se trimbale en aussi réduit tenu, l’industrie textile y faisant cruellement défaut, on sourit, voire on rit à gorge déployée, en le découvrant arpenter des chemins alentours de Bangkok ou de Chiang Mai, on rit d’autant plus que l’homme n’a même pas pris la peine de se chausser. Jock Mahoney n’est probablement pas resté insensible au grotesque de la situation. Ceci explique peut-être que lorsque retentit l’heure du dénouement, il préfère s’éloigner en courant que de s’attarder à l’écran. |
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