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Gordon Scott : Tarzan ||| Jock Mahoney : Coy Banton ||| Betta St. John : Fay Ames ||| John Carradine : Abel Banton ||| Lionel Jeffries : Ames ||| Alexandra Stewart : Laurie ||| Earl Cameron : Tate ||| Charles Tingwell : Conway ||| Al Mulock : Martin Banton ||| Gary Cockrell : Johnny Banton ||| Ron Macdonnell : Ethan Banton ||| Harry Baird : Le meneur des guerriers ||| Christopher Carlos : Le chef indigène ||| John Sullivan : Wyntors ||| Ewen Solon : Dexter ||| Jacqueline Evans : Mme Dexter ||| Tommy Duggan : Frye ||| Peter Howell : Dr Blake ||| George Taylor : Le capitaine Hayes |
71 lectures |
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Tarzan le magnifique |
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Tarzan le magnifique |
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Abel Banton et ses quatre fils, Coy (1), Ethan, Johnny et Martin attaquent une banque dans un village. Le holdup fait plusieurs morts. Quelque temps plus tard, Coy Banton est appréhendé par Wyntors, un policier autochtone. Mais alors qu’il escorte Coy vers la ville, Wyntors est tué par les fières Banton. Tarzan, qui passait par là, tue Ethan et met en fuite les deux autres fières Banton. Fou de rage, Abel décide de tout mettre en œuvre pour venger Ethan et libérer Coy. Les Banton attaquent le bateau que doit emprunter Tarzan afin de conduire son prisonnier jusqu’à Nairobi puis, après avoir fait descendre les passagers, ils l’incendient. Et voilà Tarzan et Coy ainsi que les deux couples de passagers contraints de parcourir la route périlleuse vers Nairobi à pied avec à leur trousse les Banton |
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Quelques mots sur |
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Exit Cheetah ; exit Jane ; exit Boy, que d’aucuns ne regrettent pas ; exit les éléphants ; exit le cri de Tarzan ; exit… Pour ce dernier film de la série des Gordon Scott les scénaristes ont mitonné une intrigue tellement originale qu’elle n’avait nul besoin du personnage de Tarzan, pour preuve, elle a été reprise des dizaines de fois, dans des westerns ou des métrages de gangsters. Certes, il subsiste de la jungle quelques zones marécageuses, mais les marécages et autres sables mouvants ne sont pas l'apanage de l’Afrique. Certes, il demeure de ce continent quelques lions et autres félins, mais ils ne sont que le bras armé de la justice immanente qui punit la femme infidèle et perfide. Certes, il reste de l’Afrique quelques tribus patibulaires, mais elles ne sont là qu’en tant que touche pittoresque et exotique. Au final, toute chose restant égale par ailleurs et raison gardée, ce « Tarzan le magnifique », n’a d’exceptionnel que le fait qu’il ait été tourné intégralement au Kenya et qu’il mette en scène une violence, certes hors champ, mais sans fioritures. 1- Jock Mahoney, qui campe ce personnage, incarnera Tarzan dans deux films : Tarzan aux Indes (1962, John Guillermin), Le défi de Tarzan (1963, de Robert Day). |
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