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| Johnny Weissmuller > > Tarzan ||| Brenda Joyce > > Jane ||| Johnny Sheffield > > Boy ||| Henry Stephenson > > Sir Guy Henderson ||| Maria Ouspenskaïa > > la prêtresse des Amazones ||| Barton MacLane > > Ballister ||| Donald Douglas > > Anders ||| Steven Geray > > Brenner ||| J.M. Kerrigan > > Splivens ||| Shirley O'Hara > > Athena ||| Frederic Brunn > > LaTour ||| Frank Darien > > Dinghy Skipper ||| Margery Fife > > une Amazone ||| Christine Forsyth > > une Amazone ||| Margery Marston > > une Amazone ||| Lionel Royce > > Basov |
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Tarzan et les Amazones |
 Retour à Tarzan |
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Tarzan et les Amazones |
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| Jane is coming back… et Tarzan, Boy et Cheeta partent en radeau la rejoindre… Comme ils descendaient un fleuve impassible, Tarzan aperçoit une séduisante créature, de peau de léopard revêtue, ayant maille à partir avec quelques félins. N’écoutant que son esprit chevaleresque, il sauve la jeune femme des griffes du félidé. Mais la malheureuse s’est foulé la cheville, alors Tarzan en galant gentleman la saisit dans ses bras et la transporte jusqu’à la cité perdue dont lui seul connait le chemin. Lorsque Tarzan retrouve Jane, celle-ci lui présente ses compagnons de voyage, des savants dirigés par Sir Guy Henderson. Mais voilà que le bracelet en or pur qu’a perdu la belle amazone et que Cheeta a subtilisé tombe entre leurs mains des membres de cette expédition. Si Sir Guy Henderson n’est intéressé que par la recherche ethnologique, les autres membres du groupe sont guidés par des motivations prosaïques |
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Quelques mots sur |
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| Neuvième épisode de la série des Johnny Weissmuller, le métrage quitte les sentiers de la propagande antinazie que l’effort de guerre avait imposée. Et cet abandon signe le retour du personnage de Jane qui après le départ de Maureen O’Sullivan avait physiquement disparu des métrages au prétexte scénaristique qu’elle était à Londres en visite chez ses parents et qu’elle y était restée afin de soigner les blessés de guerre. Donc Jane est de retour et comme toute femme d’intérieur, qui se respecte, sa première préoccupation est le ménage. Un ménage en spécialiste qui ne supporte pas la présence masculine. Ainsi, elle invite fermement Tarzan et Boy à quitter la maison… Ce métrage marque aussi le retour des incontournables : mano a mano avec un crocodile, un lion, scènes aquatiques et pitrerie et autres chapardages de Cheetah. Parallelement il inscrit son scénario dans le sentier si souvent labouré de l’affrontement contre des blancs cupides, porteurs de morts et de dérèglement social. Ici c’est la cité des amazones qui souffrira de leur coupable perfidie. Si le regardeur n’est peut-être pas surpris que ce nigaud de Boy se laisse une nouvelle fois abuser et accepte de conduire les méchants blancs jusqu’à la cité perdue, il sera très étonné de constater que cette peuplade exclusivement féminine, coupée du monde depuis une éternité, manie un anglais US parfait et n’a ainsi aucune peine à communiquer avec les susdits méchants Pour autant et quelques soient ses défauts, ce métrage s’avère plus léger que les deux précédents opus et, de par ce fait, il se révèle sympathique et divertissant, malgré les interminables bavardages qui occupent la première moitié |
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