|
![]() |
|
Johnny Weissmuller > > Tarzan ||| Johnny Sheffield > > Boy ||| Frances Gifford > > Zandra ||| Stanley Ridges > > colonel Von Reichart ||| Sven Hugo Borg > > Heinz, pilote nazi ||| Sig Ruman > > Sergent ||| Philip Van Zandt > > capitaine Bausch ||| Rex Williams > > lieutenant Schmidt ||| Pedro de Cordoba > > Oman, le patriarche ||| Stanley Brown > > Achmet, frère de Zandra |
41 lectures |
|||||||
Le Triomphe de Tarzan |
![]() Retour à Tarzan |
|||||||
| ||||||||
Le Triomphe de Tarzan |
||||||||
Un commando de parachutistes nazi a envahi la cité perdue sur laquelle règne le patriarche, Oman. Et les habitants ont été réduits à l’esclavage. La princesse Zandra et son frère Achmet parviennent à tromper la vigilance des nazis. Mais au cours de leur fuite, Achmet est abattu. Zandra trouve refuge auprès de Tarzan et tente de le convaincre de l’aider à chasser les nazis. Mais Tarzan refuse obstinément de s’engager… Jusqu’au moment où les nazis ont la mauvaise idée de kidnapper Boy. |
||||||||
Quelques mots sur |
![]() |
|||||||
1942. Les Etats-Unis sont en guerre contre l’Allemagne nazie et chacun est prié d’accomplir son devoir de patriote. Pour Tarzan la chose est d’autant plus simple que Maureen O'Sullivan (Jane) a quitté l’aventure pour cause de grossesse et que rien ne lui interdit donc de porter secours à une belle princesse. Ainsi, il sauvera de la férule de nazis aussi fourbes que sanguinaires et stupides une surprenante peuplade au visage pâle de sages pacifistes byzantino-aztèque. L’Afrique ne serait-elle plus habitée par des Africains à la peau noire ? Ce métrage de propagande antinazi le laisse supposer. Pour expliquer ce phénomène insolite, il convient, peut-être, de ne pas perdre de vue la nature de ce film. 1942. Les Etats-Unis sont en guerre contre l’Allemagne nazie et chacun est prié d’accomplir son devoir de patriote, les Afro-Américains y compris. Il convenait donc de gommer le racisme prégnant dans lequel baignaient les précédents opus, racisme qui faisait que la vie d’un porteur fut moins précieuse que le bagage qu’il portait sous le fouet. |
|