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Rambo: Last Blood |
 Retour à John Rambo |
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Rambo: Last Blood |
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| John Rambo a quitté le Sud est asiatique. Il vit depuis une dizaine années dans le ranch de son père à Bowie, dans le comté de Cochise, Arizona. En compagnie de sa vieille amie Maria Beltran et sa petite-fille, Gabrielle, qu’il a élevée comme un père, il parcourt à cheval les vastes plaines de l’Arizona. Mais un jour, Gabrielle, dans sa quête du père biologique, se rend au Mexique. Et un Cartel de la drogue la kidnappe Et voilà Rambo qui rallume les feux de l’enfer… |
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Quelques mots sur |
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| Aux États unis, • « usé et mécanique » New York Times. • « le film est un pétard mouillé » le magazine Empire. • « prostate filmique boursouflée » Guardian. Admettons et examinons deux critiques hexagonales : • « le scénario tient sur un ticket de métro et Sylvester Stallone joue comme une patate », « les personnages sont caricaturaux », « l'opus de trop » Le Parisien. Amusante analyse qui oublie que Rambo n’a jamais été que ça ! • « Film d’action médiocre, “Last Blood” constitue le cinquième (et dernier) volet d’une saga qui aurait pu se conclure avec “John Rambo”, en 2008. » Télérama. Est-ce à dire que c’était mieux avant ? Et maintenant la parole est à David Morrell, l’écrivain qui a donné vie littéraire à Rambo. • « Ce film est une véritable épave. Je suis très embarrassé que mon nom soit associé à ce projet ». • Quant aux personnages ils sont « réduits à des caricatures sur post-it ». Autant de réflexions qui s’appliquent à l’ensemble de la saga. |
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