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Bourvil : Georges Lachaunaye ||| Francis Blanche : inspecteur Cucherat ||| Jean Poiret : Raoul ||| Jean Yonnel : Mattieu Lachaunaye ||| Jean Tissier : inspecteur Bridoux ||| Véronique Nordey : Françoise Lachaunaye ||| Bernard Lavalette : préfet de police ||| Marcel Pérez : inspecteur-chef Raillargaud ||| Jean Galland : supérieur du collège ||| Solange Certain : Juliette Lachaunaye ||| Denise Péronne : Claire Lachaunaye ||| Roger Legris : sacristain de Saint-Étienne du Mont, récupère les bouts de chandelles. ||| Guy Denancy : curé de Saint-Étienne du Mont ||| Richard Francœur : Le père qui a mal aux dents ||| Rudy Lenoir : inspecteur Quiqueville ||| Max Desrau : L'ecclésiastique à la statue Ste-Cécile ||| Jean-Claude Rémoleux : inspecteur Bartin ||| Mohamed Jamoussy ||| Albert Michel : sacristain ||| Gloria France : patronne café ||| Lucienne Dutertre : épicière (mère de Juliette) ||| Gérard Hoffmann : pilleur de troncs borgne ||| Claude Mansard : épicier (père de Juliette) ||| Pierre Durou : sacristain mécontent ||| Dominique Zardi : clochard ||| Alexandre Randall : ||| Willy Braque : Albert, domestique ||| Philippe Dehesdin : Le voleur de sacs à main ||| Jean-Pierre Mocky : clochard au landau ||| Luc Andrieux : clochard au landau ||| Michel Nastorg : ||| Adrien Cayla-Legrand : Un inspecteur ||| Jo Charrier : Un inspecteur ||| André Chanu ||| Jacques Denoël ||| Louis-Aimé Théo ||| Annick Tanguy : la dame du confessionnal |
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Un drôle de paroissien |
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Un drôle de paroissien |
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Aristocrates sans particule, ni sou vaillant, les Lachenaye n’ont conservé de leur splendeur perdue qu’un noble refus du travail. Georges Lachaunaye, le fils aîné des Lachenaye, qui fréquente assidument clergé et église, alors qu’il demande humblement conseil à son Saint Patron, croit discerner, dans le bruit d’une pièce tombant dans un tronc, un signe divin. Et c’est ainsi que Georges Lachaunaye embrasse la carrière de pilleurs de troncs. Abandonnant le caramel mou, il opte pour l’aspirateur avant de sévir la nuit. Secondé par Raoul, un prothésiste dentaire reconverti dans la carambouille, il bricole les troncs afin d’augmenter la rentabilité de son industrie. Mais la brigade des églises, toujours pleine de malice, veille… |
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Quelques mots sur |
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Ce métrage, à la verve libertaire, qui égratigne jusqu’au sang police, église, religion et aristocratie, marque le début d’une fructueuse collaboration entre le réalisateur et Bourvil (1), ce dernier se révélant, sous son air lunaire, comme l’acteur idéal pour les comédies grinçantes de JPM. Il confirme la place centrale de Francis Blanche dans le dispositif du réalisateur et adoube un complice fidèle en la personne de Jean Poiret. Il confirme aussi le gout immodéré du réalisateur pour les « tronches », élément esthétique au comique baroque. Et la charge tous azimuts porte ses fruits, contribuant à tailler au cinéaste une « mauvaise » réputation. 1- Cette collaboration se serait fait contre l’avis de l’entourage de l’acteur que la réputation de JPM contrarié. |
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Quelques liens |
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Visitez l'officiel : http://jpierre-mocky.fr/ La caverne d'Ali Baba : http://atreyucinema.blogspot.com/2017/07/filmo-jean-pierre-mocky.html?zx=73fc62ab1c46f8b7 |