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Vincent Cassel : Eugène-François Vidocq ||| Freya Mavor : Annette ||| Denis Ménochet : Dubillard ||| August Diehl : Nathanael de Wenger ||| James Thierrée : le duc de Neufchâteau ||| Patrick Chesnais : M. Henry ||| Olga Kurylenko : la baronne Roxane de Giverny ||| Fabrice Luchini : Joseph Fouché ||| Denis Lavant : Maillard ||| Jérôme Pouly : Courtaux ||| Antoine Basler : Perrin ||| Nemo Schiffman : Charles ||| Frédéric Fix : Pélissier ||| Hervé Masquelier : Favre ||| Thierry Nenez : vieil homme ||| Vincent Schmitt : employé morgue ||| Maxime Lefrançois : Farge ||| Fayçal Safi : Mehmet ||| Nicolas de Lavergne : un bagnard ||| Greg Justin Costecalde : un tueur ||| Daniel Girondeaud : guetteur souterrain ||| François Girard : un cavalier |
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L'Empereur de Paris |
Retour à Eugène-François Vidocq |
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L'Empereur de Paris |
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Les multiples évasions d’Eugène-François Vidocq ont de lui une légende des bas-fonds parisiens. Mais après sa dernière évasion, il disparait pendant des années de sorte que beaucoup le croit mort. Et c’est sous les traits d’un marchand drapier qu’il réapparait. Accusé par deux de ces anciens compagnons de bagne d'un crime qu'il n’aurait pas commis et arrêté par la police, il propose au chef de la Sureté, en échange de sa réhabilitation de démanteler une bande de coupe-jarrets qui sevit dans la capitale. A cette fin, il s’entoure d’une poignée d’ex-taulard. Mais une fois sa besogne accomplit, il voit se dresser face à lui une bande bien plus redoutable… |
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Quelques mots sur |
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Pour ce blockbuster 100% made in France, les décorateurs et les costumiers n’ont pas économisé leur peine, et il faut l’admettre : le résultat est bien plus qu’honorable, il est quasi parfait. L’écran grouille de petites gens et d’individus aux mines peu engageantes. Donc, du côté de la reconstitution historique les qualités du métrage s’imposent à tous et ceci d’autant plus qu’un soin particulier a été porté sur les détails. Il en va de même en ce qui concerne le casting et le jeu des acteurs. Seuls les pisse-vinaigre peuvent trouver à redire quant à leur investissement dans les personnages qu’ils campent. Les coups de sabre et de pistolets, en un mot la violence dans laquelle baigne le film entre en adéquation parfaite avec les personnages, leur histoire, leur psychologie. Tout serait pour le mieux dans le meilleur des films possibles… si le scénario était du même acabit, or l’intrigue se tient à grande distance de l’originalité, de la complexité et se cantonne dans une linéarité répétitive consternante. |
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