|
|
|
Chris Pine : Jack Ryan ||| Keira Knightley : Cathy Muller ||| Kevin Costner : William Harper ||| Kenneth Branagh : Viktor Cherevin ||| Lenn Kudrjawizki : Constantin ||| Alec Utgoff : Aleksandr Borovsky ||| Peter Andersson : Dimitri Lemkov ||| Elena Velikanova : Katya ||| Nonso Anozie : Embee Deng ||| Seth Ayott : Teddy ||| Colm Feore : Rob Behringer ||| Gemma Chan : Amy Chang ||| Karen David : Penn ||| Nick Court : le sergent Mack ||| David Paymer : l'ambassadeur Dixon Lewis ||| David Hayman : l'ambassadeur Sergey Dostal |
537 lectures |
|||||||
The Ryan Initiative |
Retour à Ryan Jack |
|||||||
The Ryan Initiative |
||||||||
Jack Ryan, analyste financier travaillant pour la CIA, détecte des mouvements suspects de capitaux, derrière lesquels se dissimule l'industriel russe Viktor Cherevin. En inspection à Moscou il découvre que cet industriel prépare une attaque terroriste d'envergure sur le sol des USA, attaque qu’il projette de coupler avec une attaque boursière sans précédent. |
||||||||
Quelques mots sur |
||||||||
Il aura fallu attendre 12 ans pour que l’analyste Jack Ryan, génial débutant toujours aussi jeune, fasse son retour sur les écrans des multisalles. Sous les traits de Ben Affleck, il sauvait le monde du cataclysme nucléaire, sous ceux de Chris Pine il sauve l’Amérique, et donc le monde, de l’effondrement financier, clé de voute du monde libre. De Moscou à Manhattan, il court, il court, car de méchants patibulaires, travaillant en sous-main pour le compte du kremlin désoviétisé, rêvent de précipiter l’humanité dans le chaos. Pourquoi ? Parce que tel est leur nature ! Le mal est le mal et n’a pas besoin de justification ! Le mal vient de l’Est comme de toute éternité ! À condition d’omettre cette vision géopolitique aux relents complotiste qui ne peut s’adosser à la guerre froide, le regardeur vivra quelques instants de bonheur visuel tant sont efficaces les courses-poursuites qui ponctuent le métrage. Alfred Hitchcock soutenait qu’un film était d’autant plus réussi que le méchant l’était, ici le méchant frôle la perfection. |
|