|
![]() |
|
Sanaa Lathan : Alexa Woods, guide de haute montagne, expert en traitement des déchets ||| Lance Henriksen : Charles Bishop Weyland ||| Colin Salmon : Maxwell « Max » Stafford, assistant de Charles Weyland ||| Agathe de La Boulaye : Adele Rousseau, mercenaire ||| Carsten Norgaard : Rusten Quinn, mercenaire ||| Sam Troughton : Thomas « Tom » Parks, assistant de Sebastian de Rosa ||| Raoul Bova : Sebastian de Rosa, archéologue italien ||| Ewen Bremner : Graeme Miller, expert en chimie organique ||| Tommy Flanagan : Mark Verheiden, mercenaire ||| Karima Adebibe : la demoiselle sacrifiée ||| Ian Whyte : le Predator Scar ||| Petr Jákl : Stone ||| Pavel Bezdek : Bass ||| Kieran Bew : Klaus ||| Liz May Brice : Superviseure de l'équipe ||| Eoin McCarthy : Karl |
55 lectures |
|||||||
Alien vs. Predator |
![]() Retour à Predator |
|||||||
| ||||||||
Alien vs. Predator |
||||||||
Une pyramide renfermant des vestiges de civilisations aztèque, égyptienne et cambodgienne est découverte sous la banquise par une équipe d’explorateurs financée par Charles Bishop Weyland et pilotée par Alexa Woods. Mais ce qu’ils croient être une pyramide est en fait un incubateur où les Predators cultivent des Aliens afin d’initier les Predators adolescents à la chasse. |
||||||||
Quelques mots sur |
![]() |
|||||||
La chasse aux Aliens par les Predators vit le jour dans la saga Alien vs. Predator publiée par Dark Horse Comics en 1989. Si cet affrontement n’avait peut-être rien de saugrenu dans l’univers du comic, il se révèle quelque peu abracadabrantesque à l’écran. Certes, les deux univers, celui d’Alien et celui de Predator, se marient convenablement : bave gluante, sang verdâtre fluo ; dreadlocks, queue de lézard ; cuirasse surarmée, jet d’acide ; crâne luisant telle une carapace de hanneton ; caque intégrale de divinité païenne ; double mâchoire rétractable ; bouche en cul de poule avec mandibules ; etc. Mais introduction de l’humain dans ce combat relève de l’improbable, limite ridicule, voire incohérente. Si les humains ont été attirés dans la pyramide sub antarctique par les Predators pour servit de mère porteuse à Alien pondeurs, pourquoi les chassent-ils et les tuent-ils, ne devraient-ils pas au contraire les protéger ? Mais le plus invraisemblable du scénario de ce AVP, ce vers quoi il tend, est l’alliance contre nature d’Alexa Woods et du Predator ! Qu’elle y soit contrainte chacun le conçoit, mais qu’il l’accepte, personne ne peut l’envisager un instant ! En quoi a-t-il besoin du concours d’une faible humaine pour vaincre l’Alien ? Ces faiblesses rédhibitoires écartées, ce métrage se regarde sans déplaisir du moins durant sa première moitié, lorsque l’expédition scientifique s’aventure dans la pyramide et découvre avec effroi qu’elle change de géométrie toutes les dix minutes : le décor est plus que parfait et la mécanique des plus huilée. |
|