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Arnold Schwarzenegger : Major Alan « Dutch » Schaefer ||| Carl Weathers : George Dillon ||| Elpidia Carrillo : Anna Goncalves ||| Bill Duke : Sergent Mac Elliot ||| Sonny Landham : Billy Sole ||| Richard Chaves : Jorge « Poncho » Ramirez ||| Jesse Ventura : Blain Cooper ||| Shane Black : Rick Hawkins ||| R. G. Armstrong : Général Homer Phillips ||| Kevin Peter Hall : le Predator et le pilote de l'hélicoptère dans la scène finale |
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Predator |
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Predator |
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Le major Alan « Dutch » Schaefer et son équipe d'élite sont expédiés dans la jungle, quelque part en Amérique latine. Ils doivent retrouver un ministre et son assistant dont l’hélicoptère a été abattu par la guérilla et qui sont maintenant leurs prisonniers… Nonobstant le fait que les deux prisonniers ont été exécutés par leurs geôliers, la mission se déroule au mieux : les guérilleros sont « neutralisés » ; leur repère détruit… Mais le major Alan « Dutch » Schaefer et son équipe d'élite ignorent qu’un prédateur extraterrestre a choisi cette jungle comme terrain de chasse… |
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Quelques mots sur |
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Ce métrage, de 107 minutes, constitue l’acte inaugural d’une saga qui compte à ce jour quatre opus et quelques produits annexes où le Prédator affronte Alien. Au centre du film, divisé en trois parties distinctes, se hisse, au milieu de la jungle et de ses fougères géantes, la carrure particulière d’Arnold Schwarzenegger, l’ex-culturisme venu au cinéma avec « Hercule à New York » en 1970 (1). Au commencement était un métrage style Rambo en mission des plus ordinaires. Et durant une trentaine de minutes, le blockbuster déploie ses explosions et ses mitraillages comme à l'accoutumée. Le regardeur habitué à ce genre de spectacle se meut en territoire connu et n’est nullement surpris de la supériorité du commando à la tête duquel se dresse le musculeux Major Alan « Dutch » Schaefer, tout comme il n’est aucunement étonné de la maladresse quasi congénitale des guérilleros. Certes, quelques éléments visuels étranges ont troublé ce susdit regardeur, mais, la jungle étant le royaume des animaux sauvages, son trouble n’a été qu’éphémère. Après cette première partie, des plus classiques, le métrage change de genre. Exit le valeureux commando aux prises avec une bande de maladroits, place à la chasse à l’homme. Car dans cette jungle inhospitalière se terre un extraterrestre tendance caméléon avec dreadlocks, venu spécialement sur Terre pour la chasse. Et durant les quarante-cinq minutes qui suivent, le spectateur médusé assiste à l’extermination de tous les hommes que commandait « Dutch », une extermination aussi sanglante que radicale (2). Vient enfin la troisième partie, qui dure une trentaine de minutes, et qui voit « Dutch » affronter la bestiole venue d'ailleurs et, au prix de mille ruses et autant de souffrances, la vaincre. À sa sortie, si le film rencontra le public et souleva l’enthousiasme des aficionados du genre fantastique à tendance gore, il fut snobé par la critique hexagonale toujours aussi prompte à s’éloigner des goûts de la masse inculte. 1- http://www.rayonpolar.com/Films/cineaste_affiche.php?num=46&numero=14 2- Il s’agit bien des hommes et d’eux seulement puisque la femme qu’ils ont faite prisonnière lors de l’attaque du campement des guérilleros échappe sans peine à la Bête |
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