| Bruno Wolkowitch : Henri de Largardère, le bossu ||| Yvon Back : Philippe de Gonzague ||| Clio Baran : Aurore de Nevers, adulte ||| Christian Hecq : Peyrolles ||| Frédéric Van Den Driessche : Philippe de Nevers ||| Florence Pernel : Inès de Nevers / Caylus ||| Jacques Frantz : Cocardasse ||| Ticky Holgado : Passepoil ||| Priscilla Bescond : Flore ||| Julien Guiomar : le marquis de Caylus ||| Isabelle Caubère : Anne ||| Pierre Gérard : le Régent ||| Michel Modo : l'ambassadeur de France ||| Florence Müller : Jeanne ||| Didier Menin : le mendiant |
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Lagardère - Partie 1
En Images |
Retour à Henri de Lagardère / Le Bossu
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Lagardère - Partie 1
Synopsis |
Rongé par la jalousie et la cupidité, Philippe de Gonzague, à qui Nevers a eu le tort de révéler la naissance d’un enfant de son union secrète avec Inès, expédie un groupe de spadassins assassiner son cousin. Malgré son intervention, Lagardère, fidèle serviteur et admiratif de son maître le duc Nevers, ne peut empêcher le forfait. A l’agonie, le duc obtient de lui la promesse de prendre soin de sa fille Aurore…
Pendant la décennie qui suit, Lagardère traque, aux quatre coins du continent, les hommes qui ont participé à l’embuscade qui a coûté la vie au duc. Mais ses efforts demeurent vains, l’identité du meurtrier, qu’il a blessé à la main, reste un mystère.
Aurore, qui a maintenant 16 ans, ignore tout de ses origines. Insouciante des dangers qui la menacent. Elle vit en Espagne aux côtés de Lagardère, qui se fait appeler M. Louis, et de Passepoil. Malheureusement, un enchaînement de maladresses de sa part permet à Gonzague de localiser son refuge. Et le fourbe envoie aussitôt une escouade de tueurs… |
Quelques mots sur
Lagardère - Partie 1 |
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Cette première partie de ce téléfilm d’environ 3 heures est portée par la fougue rafraichissante d’un Bruno Wolkowitch bondissant et maniant l’épée avec une aisance remarquable. Certes la mise en scène ne fait pas preuve d’une grande originalité, si ce n’est des décolletés impressionnants de tenue, mais s’agit-il là de mise en scène ?
Aux coté de Wolkowitch, ou plutôt face à lui, se dresse un Yvon Back tout en retenu et en fourberies et un Christian Hecq métaphore de la soumission aussi méchante que cruelle.
Bien sûr, les téléspectateurs d’un certain âge, celui de la sagesse, ne pourront ‘s’empêcher de comparer cette adaptation du roman de Paul Féval à celle d’André Hunebelle avec, dans le rôle-titre, le charismatique Jean Marais, que d’aucuns connaissent plus comme l’interprète du susdit réalisateur que comme celui de Jean Cocteau. Mais ils doivent admettre que celle-ci ne manque pas de panache, du moins dans cette première partie |
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