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Agnès Jaoui : Ariel ||| Laurent Lafitte : Antoine ||| Benjamin Biolay : Gérard ||| Nicolas Bedos : Louis ||| Bruno Putzulu : Adar ||| Élodie Frégé : Julie ||| Aksel Ustun : Murat ||| Romain Berger : Yalcin ||| Guy Marchand : Francis ||| Alice Belaïdi : Franette ||| Didier Flamand : Chastenet ||| Irène Jacob : Mathilde ||| Arthur Igual : Alexis ||| Marie-Christine Barrault : Nelly ||| Massimo Di Napoli : L'amant d'Adar ||| Djimoding Souaré : M. Ankaoua ||| Cynthia Liebow : Madame Chaussette ||| Sophie Obadia : Cliente ourlet ||| Antonio Interlandi : Ami d'Ariel ||| Romain Goupil : Ami Ariel ||| Dario Lan Franca : Militant ami Ariel ||| Ferdinand Doumic : Musicien Ariel ||| Théodore Doumic : Musicien Ariel ||| Vantha Talisman : Soumaly Pham ||| Joakim Latzko : Garçon RER ||| Romain Masi : Garçon au vélo ||| Gray Orsatelli : Garçon au vélo ||| Alexandre Van Landuyt : Un joueur de poker ||| Vincent Lecuyer : Gilbert, Alias Romain, Alias Zoltan ||| Erwan Marinopoulos : L'agent immobilier ||| Léonore Confino : La copine encombrante d'Ariel ||| Julien Baumgartner : Thibault, Le directeur financier ||| Juliette Besson : la serveuse de la gare ||| Isabelle Vellay : La dame qui n'aime pas la fumée de cigarette ||| Charles Aznavour : Lui-même (images d'archives - non crédité) ||| Gilbert Bécaud : Lui-même (images d'archives - non crédité) ||| Mireille Mathieu : Elle-même (images d'archives - non créditée) |
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L'Art de la fugue |
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L'Art de la fugue |
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Francis et Nelly tiennent une boutique de vêtements masculins qui périclite. Ils ont trois fils : • Antoine vit depuis longtemps avec Adar, mais il rêve d’Alexis... • Louis est fiancé à la jolie Julie, mais il aime Mathilde… • Gérard chômeur et dépressif… est en instance de divorce… qu’il refuse. Ariel n’est pas de la famille. Elle travaille dans l’agence où officie Antoine… |
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Quelques mots sur |
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L’art de la fugue ou le talent de la confusion, de la confusion des sentiments. L’art de la fugue ou l’impression de l’inachevé. Adaptée du roman éponyme de Stephen McCauley, cette comédie de mœurs, qui pour d’aucuns évoque un Woody Allen, aligne un casting où se mêlent talent et renom. Pour autant, ce pointillisme sentimental ne parvient que difficilement à captiver l’attention. Tout est téléphoné ou surjoué : chacun comprend que personne n’est entièrement satisfait de sa vie, mais ne fera rien pour en changer ou alors avec une telle mollesse qu’aucun attrait de peut se coaguler à l’écran. Antoine rêve d’Alexis, Louis de Mathilde et Gérard de son ex ! Mais les rêves ne faisant pas réalité le scénario, au demeurant inexistant, ne charpente pas le métrage… et il faut attendre l’instant diffus où Gérard et Ariel entament une relation amoureuse pour qu’enfin le métrage frémisse… en d’autres termes il faut attendre que le personnage porté avec énergie par Agnès Jaoui occupe l’écran pour que débute le film, malheureusement c’est aussi l’heure de sa fin. |
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