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Le Cousin |
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Le Cousin |
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Gérard Delvaux hérite du « cousin » de l'inspecteur Maurin qui suite à sa mise en examen s’est suicidé. Pour autant, la juge d’instruction ne renonce pas : elle exige que soit livré à la justice le « cousin » Nounours. Gérard Delvaux refuse de se soumettre aux exigences de la juge… grâce à son indicateur, il monte plusieurs interpellations… et piège une importante bande de trafiquants de drogue que couvre malheureusement l’impunité diplomatique… |
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Quelques mots sur |
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L’objet réfléchi se trouve à une distance virtuelle égale à celle de son image. Gros plan sur un visage de flic, arme à la main… une porte… Gros plan sur un visage de flic, arme à la main. Symétrie des visages par rapport à cette porte qu’ils s’apprêtent à défoncer et derrière laquelle se terrent des dealers. Symétrie déformante puisque de part et d’autre de la porte se tient un homme, une femme, symétrie fugace qui annonce un désordre débordant de violence et de cris. Et de part et d’autre de la ligne de crête qui sépare flic et truand, en image réfléchie, mais déformée, le flic et son cousin. Delvaux, sa femme quasi mutique qui trompe son ennui dans l’alcool et son fils toujours déçu de son absence. Nounours, sa femme totalement mutique et ses filles sages comme des images. Symétrie parfaite de deux acteurs comiques employés courageusement à contre-emploi. L’un jouant le Clint Eastwood acclimaté à l’hexagone, l’autre le Joe Pesci père de famille. L’un jouant dans la retenue, propre au flic marginal qui s‘arrange avec la loi, l’autre se laissant aller au subites explosions de violence jusqu’à ce qu’au final les rôles s’inversent et que la violence abandonne l’un pour gagner l’autre. |
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