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Mil Máscaras ||| Lorena Velázquez ||| Rogelio Guerra ||| Tinieblas ||| El Fantasma Blanco, ||| Alicia Encinas ||| Sheza Giglioto ||| El Enmascarado Negro ||| Claudio Lanuza ||| Freddy Pecherelly ||| Elias Charur ||| Edgar Echevarria ||| Hugo Carranza ||| Enrique Bremermann ||| Miguel Jiménez |
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Las Momias de San Ángel |
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Las Momias de San Ángel |
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Le filleul de Mil Mascaras, récemment marié, aménage avec sa femme dans une maison que peuplent quelques momies, vestiges de la colonisation du pays | ||||||||
Quelques mots sur |
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Ce nouvel avatar du genre luchasploitation s’ouvre sur l’incontournable scène de lutte libre (une dizaine de minutes) que le scénariste justifie par le fait que dans la salle se dissimulent quelques truands recherchés par la police à qui Mil Mascaras prête main-forte. Brusquement, le métrage que le spectateur croyait de gangsters bifurque. Deux jeunes hommes proposent à deux autostoppeuses de les reconduire chez elles. Tout ce passe au mieux, mais un peu plus tard, alors que les deux jolis cœurs sonnent à la porte des deux avenantes femmes, c’est un homme qui ouvre… il affirme habiter seul… ils forcent sa porte… et se mettent en quête de Clara et Sonia, puisque tels sont les prénoms des deux belles… mais en guise de ravissantes jeunes filles, ce sont des momies qu’ils découvrent… et qui leur sont fatales. Et le film poursuit son chemin en suivant un scénario aussi hasardeux que brouillon. Que dire des costumes, des maquillages, de la mise en scène, du jeu des acteurs, et cætera ? Qu’ils sont conformes au scénario : hasardeux, brouillon et au final pitoyable. Pour les curieux : l’intégralité du métrage est disponible en six parties sur YouTube. |
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