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Santo en la venganza de la momia |
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Santo en la venganza de la momia |
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Le professeur Romero sollicite un anthropologue, un ingénieur, la photographe Susana, sa secrétaire et Santo afin qu’ils l’accompagnent dans l’expédition qui doit explorer un ancien site dans lequel se situe la tombe oubliée de Temoc, un guerrier aztèque qui fut enterré vivant après avoir séduit une vierge dédiée au Dieu Tezcatlipoca. Mais l’intrusion dans la pyramide où il fut déposé sa dépouille ne semble pas être du gout de la momie de Temoc. Celle-ci s’éveille et trucide un à un les membres de l’expédition ! Santo parviendra-t-il à vaincre cet être immortel ? |
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Quelques mots sur |
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El Santo, el Enmascarado de Plata, personnage incontournable du cinéma mexicain entre 1958 et 1982, affronte pour la première fois la Momie, une momie aztèque, mais une momie dont « l’histoire » se conforme à sa lointaine cousine égyptienne. Coincé entre deux séquences de lutte, d’une dizaine de minutes pour celle qui ouvre le métrage et de cinq minutes pour celle qui le referme, ce film déroule un scénario qui certes manque de rythme, mais qui fait preuve d’originalité quant au traitement de la Momie. Pour autant, le métrage ne s’extrait pas de la médiocrité où il patauge. A l’indigence des décors s’ajoutent le manque de conviction des acteurs, qui pour certains campent des personnages caricaturaux, et la pauvreté de la mise en scène. Mais tout ceci ne serait rien s’il n’y avait El Santo, l’homme au masque d’argent, masque qu’il ne quitte jamais, masque qui ne lui interdit pas de séduire l’une des protagonistes ! Autant dire qu’avec ce musculeux l’on atteint l’au-delà du ridicule… |
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