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La momia azteca contra el robot humano |
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La momia azteca contra el robot humano |
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Le docteur Krupp, alias « la chauve-souris », n’a pas renoncé à faire main basse sur le pectoral et le bracelet de la momie Pococa dont les gravures indiquent l’emplacement du trésor des Aztèques. Mais Pococa veille farouchement sur ses ornements, alors le Dr Krupp met au point un robot humain afin de le vaincre. | ||||||||
Quelques mots sur |
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Le troisième et dernier opus de la saga de la Momie selon Portillon prend la forme d’un long flash-back au cours duquel le Dr. Eduardo Almada narre à des confrères les événements passés. Et durant une longue demi-heure, le spectateur assiste à une concaténation des scènes les plus marquantes des deux métrages précédents. Certes cette analepse se poursuit par quelques courtes séquences originales relatant les faits qui se sont déroulés durant les cinq ans supposés qui séparent le deuxième opus de celui-ci, mais le mal est fait, le film s’est embourbé dans un rythme mollasson. A ce manque de souffle s’ajoutent deux autres faiblesses qui relèvent de la même fainéantise. L’humour, porté par le faux couard Pinacate, que l’on sait ne faire qu’un avec l’Ange, disparait totalement, au point de rendre transparent le personnage. Quant au robot, protagoniste central au vu du titre, non seulement il n’apparait que durant les dix dernières minutes, mais il coquette avec le ridicule. Empilement de boites de conserve, il se déplace d’un pas mal assuré et se meut sans grâce. Seul un esprit dérangé, tel celui du Docteur Chauve-Souris, pouvait s’imaginer qu’il vaincrait une Momie que la mort a épargnée durant des millénaires. En conclusion, « La Momia azteca contra el robot humano » constitue le plus mauvais des trois opus de ce triptyque aux multiples défauts. Seuls les « complétistes » les plus persévérants s’amuseront à ce spectacle. |
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