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Tony Curtis>... >Aziru / Dr. Mohassid ||| Leslie Hardy>... >Sandra Barnes / Kia ||| Greg Wrangler>... >Dr. Carey Williams ||| Jacques Cohen>... >Lord Maxton (as Jack Cohen) ||| Mohammad Bakri>... >Alexatos (as Mohammed Bakri) ||| Mosko Alkalai>... >Kroll ||| Moshe Ivgy>... >Ali ||| Joseph Shiloach>... >Capt. Mahmoud (as Yosi Chiloch) ||| Uri Gavriel>... >Tomb guard ||| Igal Naor>... >Egyptology official ||| Eli Danker>... >Museum Director ||| Yossi Graber>... >Judge |
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Momie : la Résurrection |
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Momie : la Résurrection |
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Parce qu’il a pris pour maitresse Kia, une favorite d’un dieu, Aziru est condamné à être enterré vivant et a veillé pour toute l’éternité sur les morts. Quelque 3000 ans plus tard, la tombe où il repose est découverte et son sarcophage ouvert… Au même moment la jeune Sandra, sosie parfait de Kia, arrive au Caire… Aziru libéré de son sarcophage et devenu Dr. Mohassid espère qu’en faisant offrante au dieu de Sandra il sera délivré de la malédiction. |
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Quelques mots sur |
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Le métrage débute par une longue leçon d’astronomie qui laisse présager le pire, mais se poursuit par quelques scènes qui augurent du meilleur. Les nuits d’une femme, récemment arrivée au Caire, sont perturbées par des cauchemars récurrents au cours desquels elle est projetée quelque 3000 ans en arrière. Ces séquences à la moiteur suintant le trouble sexuel rivent à l’écran l’œil du regardeur. Mais très vite celui-ci se lasse de ces moments répétitifs et inaboutis qui trainent en longueur. Sujette à des hallucinations, Sandra traverse Le Caire alors que se dresse le Dr. Mohassid, impassible séducteur qu’un hale de mystère de pacotille enrobe. Et pendant ce temps, une ou des voix off se superposent aux images qui s’enchainent mollement. En ballade dans le souk, Sandra s’égare. Ses pas, guidés par une panique embryonnaire, la conduisent jusqu’aux boyaux qui s’étendent dans les sous-sols de la ville. Une horde de mendiants avachis l’agresse, lui dérobe son collier, son sac… affolée, elle fuit… des mains se tendent vers elle… elle chute… des rats grouillent, des mains l’agrippent… elle se précipite dans les bras de Dr. Mohassid qui l’enveloppe de sa cape. Et d’aucuns de se demander : Quels sont le but et le sens de cette séquence qui ne débouche sur rien ? Certes, quelques effets gores tentent de titiller les âmes sensibles, mais l’absence d’un réel scénario leur confère une artificialité dommageable. Les décors sont très beaux et les reconstitutions « historiques » convaincantes, la jeune Sandra ne manque pas de sex appeal et son prétendant de charme, quant au Dr. Mohassid, il excelle d’omniprésence et de cruauté, malheureusement tout ceci ne suffit pas à éveiller l’intérêt du spectateur. |
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