Sherlock Holmes - Sherlock Holmes attaque l'Orient Express - The Seven Percent Solution - sur le site RayonPolar


Sherlock Holmes attaque l'Orient Express



Sherlock Holmes Attaque L'Orient Express - The Seven Percent Solution

1976
Herbert Ross

Alan Arkin : Dr Sigmund Freud ||| Robert Duvall : Dr John H. Watson / le narrateur ||| Nicol Williamson : Sherlock Holmes ||| Vanessa Redgrave : Lola Deveraux ||| Laurence Olivier : Professeur James Moriarty ||| Régine : Madame ||| Samantha Eggar : Mary Morstan Watson ||| Joel Grey : Lowenstein ||| Charles Gray : Mycroft Holmes
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Sherlock Holmes attaque l'Orient Express
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Sherlock Holmes attaque l'Orient Express
Synopsis

Londres, 1891. L’usage assidu de la cocaïne a un effet désastreux sur Sherlock Holmes qui désigne son ancien précepteur, le Professeur Moriarty, comme le criminel le plus dangereux. Grâce à un subterfuge, le docteur Watson, secondé par Mycroft Holmes, parvient à entrainer son ami jusqu’à Vienne où le jeune Sigmund Freud soigne les toxicomanes avec succès.
Au cours de son traitement, une patiente du célèbre thérapeute, la cantatrice, Lola Deveraux, est hospitalisée. Alors que tous pensent que la jeune femme, sous l’emprise de la drogue, s’est infligé les blessures qui zèbrent son corps, Sherlock Holmes identifie des marques de liens qui le convainquent qu’elle a été kidnappée et qu’elle a réussi à fuir…
Et voila le célèbre détective du 221B Baker Street embringué dans une aventure qui le conduira de Vienne à la frontière turque à bord d’un train, qu’en compagnie du docteur Watson et de Sigmund Freud, il aura détourné.

Quelques mots sur
Sherlock Holmes attaque l'Orient Express





Nicholas Meyer (1) a commis trois pastiches holmésien forts divertissants, « L'Horreur du West End » (1976), dans lequel le détective côtoie Oscar Wilde et Bram Stoker, « Sherlock Holmes et le fantôme de l'Opéra » (1993) et « La solution à sept pour cent » (1974) que ce film porte à l’écran et dont il signe le scénario.
Rongé par les traumatismes liés à la petite enfance (2) et amoindri par l’absorption incessante de la solution à sept pour cent, c’est un Holmes en rupture avec sa mythologie qui évolue ici, sous l’œil mi-étonné mi-captivé du spectateur. Holmes qui se traine, qui s’effondre, que la paranoïa submerge, Holmes incapable du moindre raisonnement, de la moindre déduction… Holmes que son ami Watson conduit jusqu’au divan du docteur Freud…
Malheureusement, l’originalité de l’idée ne parvient pas à illuminer l’écran d’une splendeur éblouissante. Le métrage consacre sa première heure à la cure de sevrage que subit, sous la direction du célèbre père de la psychanalyse, le détective londonien. Une heure… une heure de gémissements et de montre qui oscille devant les yeux de Sherlock, une heure d’un traitement qu’un quelconque rebouteux aurait pu prescrire, puisqu’il ne repose que sur la privation et l’absorption de thé
Au terme de ce long tunnel thérapeutique, un autre film débute, un film où un improbable Dr Sigmund Freud se joint à un Sherlock Holmes convalescent et où ils se lancent tout trois aux trousses des ravisseurs d’une Vanessa Redgrave (3) inexpressive à souhait. Certes, cette course poursuite ne manque pas de trépidante et d’aucuns sourient lorsqu’elle accède à son climax : Sherlock Holmes réquisitionne un train ; le Dr Watson, en habit de Bernard Palissy (4), démantibule un wagon afin d’alimenter la chaudière de la locomotive que conduit Freud ; les deux trains se retrouvent sur la même voie, Sherlock bondit de l’un à l’autre… Certes, la nervosité est au rendez-vous, mais elle aurait mérité d’irriguer le film dès les premières minutes.



1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Meyer

2- Trois, car il ne faudrait pas oublier le Dr Watson

3- https://fr.wikipedia.org/wiki/Vanessa_Redgrave

4- https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Palissy

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