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Basil Rathbone : Sherlock Holmes ||| Nigel Bruce : Dr Watson ||| Patricia Morison : Hilda Courtney ||| Edmund Breon : 'Stinky' Emery ||| Frederick Worlock : Colonel Cavanaugh ||| Carl Harbord : Inspecteur Hopkins ||| Patricia Cameron : Evelyn Clifford ||| Holmes Herbert : Ebenezer Crabtree ||| Harry Cording : Hamid ||| Mary Gordon : Mme Hudson ||| Ian Wolfe : Commissaire de Scotland Yard |
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La Clef ou Sherlock Holmes et la Clef |
Retour à Sherlock Holmes |
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La Clef ou Sherlock Holmes et la Clef |
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Lors d’une vente aux enchères, trois boîtes à musique en tout point identiques sont acquises par Julian "Stinky" Emery, William Kilgour et Evelyn Clifford. Très peu de temps après le colonel Cavanaugh se présente à la salle de vente dans l’espoir que les boites n’ont pas été vendues… face à la déception du colonel et moyennant un billet, le commissaire-priseur lui communique les adresses des acheteurs. Quelques jours plus tard, Stinky rend visite au docteur Watson. Il narre à son vieil ami une étrange mésaventure : on aurait tenté de lui dérober la boite à musique. Intrigué, Holmes demande à voir cette boite à musique. D’un œil soupçonneux, il l’observe pendant que d’une oreille attentive il écoute l’air qu’elle égrène... d’évidence une boite à musique sans valeur. Mais lorsque Stinky est assassiné et que la boite à musique a disparu, l’affaire prend une tout autre tournure et ceci d’autant plus que ces boites sont fabriquées en prison par John Davidson qui y purge une lourde peine pour le vol des plaques d’impression des billets de cinq livres. |
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Quelques mots sur |
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Cet ultime opus de la saga Basil Rathbone/ Nigel Bruce ne déroge pas aux règles solidement établies depuis l’origine. • L’intrigue doit être simplissime et dépourvue de tout rebondissement, suspense ou mystère. • La mise en scène doit faire se conformer à la règle précédente. • Les méchants ne doivent pas faire preuve de scrupules et se cantonner dans l’inconsistance absolue. Dans le cas où ce méchant serait une personne du sexe, elle doit évoquer la femme fatale sans ostentation et garder le sourire y compris lors du dénouement. • Les policiers doivent être ou stupides ou incompétents, mais toujours impuissants. • Le docteur Watson doit se comporter avec la candeur de l’idiot. • Quant à Holmes, il est le soleil qui éclaire les ténèbres. Certes agréable à suivre, ce quatorzième opus ne vaut malgré tout pas tripette. Un seul détail curieux en égaye la monotonie. Holmes a passé la nuit à tenter de percer le code secret contenu dans la ritournelle qui s’échappe de la boite à musique en sa possession. Sortant de la chambre le docteur Watson apparait en tricot de peau, une serviette de toilette autour du cou… « Vous avez dit bizarre ? … comme c’est bizarre ! » |
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