|
|
|
|
| Basil Rathbone : Sherlock Holmes ||| Nigel Bruce : Docteur Watson ||| Alan Mowbray : Major Duncan-Bleek, alias Moran ||| Dennis Hoey : Inspecteur Lestrade ||| Renee Godfrey : Vivian Vedder ||| Frederick Worlock : Professeur Kilbane ||| Mary Forbes : Lady Margaret Carstairs ||| Skelton Knaggs : Sands ||| Billy Bevan : le contrôleur ||| Geoffrey Steele : Ronald Carstairs ||| Harry Cording : Mock, le charpentier |
365 lectures |
|||||||
Le Train de la mort |
 Retour à Sherlock Holmes |
|||||||
| ||||||||
Le Train de la mort |
||||||||
| Dans le train, qui relie Londres à l’Écosse, embarquent Vivian Vedder, qui escorte le cercueil de sa mère, Lady Margaret Carstairs, propriétaire du célèbre diamant "Star of Rhodesia", l'inspecteur Lestrade, officiellement en vacances, Ronald Carstairs, le fils de Lady Margaret, Holmes, que Ronald a embauché pour protéger le diamant, ainsi que Watson et son ami le major Duncan-Bleek. Peu de temps après, Ronald est assassiné et le diamant volé… |
||||||||
Quelques mots sur |
 |
|||||||
| Pour ce métrage les protagonistes de ce métrage ont pris place à bord d’un train. Lieu clos par excellence d’où même le plus rusé des tueurs ne peut s’enfuir. Et il n’y parviendra pas puisqu’au final, il sera, non seulement démasqué et neutralisé par l’indomptable Sherlock Holmes, mais que sera aussi déjoué le subterfuge qu’il avait imaginé afin de filer en toute impunité. Une fois de plus, le prince des neurones connecté triomphe du mal sous l’œil crétin d’un Lestrade grincheux et celui d’un Watson faire-valoir et laissez-passer de l’aigrefin de service. Comment parvient-il à un tel exploit ? Le métrage est avare d’explications sur cet aspect de l’affaire, toujours est-il que le meurtre de Ronald commis, le détective le plus fugace de la création semble avoir en main toutes les clés de cette fausse énigme. Quant à l’aspect huis clos que présageait l’enfermement dans un train, il est aussi rapidement abandonné que l’est le faux suspense au sujet du coupable. La saga touche à sa fin et il est plus que temps de tourner la page tant ses épisodes se vautrent, à de rares exceptions, dans l’inintéressant absolu |
|
